Comme on ne réinventera pas la roue voici un article issu du web sur ce nutriment qui mal utilisé peut occasionner de grands torts à l’organisme.
(Extrait de Dites non à la douleur : l’approche naturelle, par Gisèle Frenette, Édimag 2004)
Un nombre important d’études démontrent qu’une consommation excessive de sucre est liée directement ou indirectement à plusieurs troubles de santé. Malheureusement, cette substance à saveur si douce nuit à la santé, et à un tel point qu’on la compare souvent à une drogue légale, de part sa capacité à créer l’accoutumance. Le sucre affaiblit le système immunitaire et prédispose les gens aux infections et aux allergies. Il agit comme immunosuppresseur; la consommation de sucre inhibe la réponse immunitaire du corps pour les 6 à 8 heures qui suivent, laissant le corps avec peu de défense contre les agents pathogènes. Si on considère que le sucre fait partie de chaque repas et collation d’une grande partie de la population, on comprend vite que ces cellules immunes assoupies seront peu efficaces à combattre les agressions virales, parasitaires, bactériennes, et encore moins celles des cellules cancéreuses.
Le sucre stimule l’appétit et par ce fait, encourage les excès de table et l’obésité. Lorsque l’on consomme du sucre, le pancréas s’active à produire et à libérer plus d’insuline. Une hyperstimulation répétée du pancréas épuise cette glande importante et peut conduire à l’hypoglycémie. Les glandes surrénales, aussi considérées comme les glandes anti-stress du corps, seront vite affligées et fatiguées, ce qui mènera à d’autres symptômes désagréables dont la fatigue chronique. Le sucre a une grande part de responsabilité dans un nombre étonnant de conditions de santé bien documentées, notamment, l’augmentation du risque de certains cancers, l’élévation du taux de triglycérides, la diminution de la production d’anticorps, la prolifération du Candida albicans, l’hypertension, l’insuffisance rénale et les maladies gastro-intestinales.
On estime que les Nord-américains consomment en moyenne 59 kilogrammes de sucre chaque année (130 livres). Ceci n’est guère étonnant quand on calcule qu’une cannette de 12 onces de boisson gazeuse en contient de 8 à 12 cuillérées à thé, alors qu’une cuillérée à table de ketchup en compte une cuillérée à thé. Le sucre se cache partout, étant un élément peu coûteux avec un goût de « revenez-y »; on le retrouve même dans des ingrédients pourtant peu sucrés au goût tels la mayonnaise, le beurre d’arachide, le sel, les plats surgelés et les sauces. On doit aussi mentionner la farine blanche, qui même si elle n’est pas un sucre, se convertit rapidement en sucre simple dans le corps; par exemple, une tranche de pain blanc égale environ une cuillérée à thé de sucre. Le sucre assume plusieurs appellations tels que dextrose, fructose, glucose, maltose, sucrose, sirop de maïs, sirop de riz et malt d’orge. Dans son état naturel, la canne à sucre fournit des vitamines B et des minéraux, incluant le chrome, mais le processus de raffinage du sucre détruit les oligoéléments et les enzymes. Lorsque l’on mange du sucre dit « raffiné », le corps doit puiser dans ses réserves de calcium, magnésium, phosphore, chrome, zinc, manganèse, cuivre et cobalt pour le métaboliser. Cette situation peut éventuellement mener à une carence en minéraux dans l’organisme et à un déséquilibre biochimique. Les rages de sucre peuvent être contrôlées en ajoutant à votre diète des suppléments de vitamines B (surtout B5, B6), vitamine C, chrome, magnésium, manganèse et zinc.
Dans son livre Lick the sugar habit, Nancy Appleton énumère 124 façons par lesquelles le sucre peut ruiner votre santé. Elle cite plusieurs conditions inflammatoires et douloureuses auxquelles le sucre semble contribuer : l’acidification du tractus digestif, l’augmentation du risque d’ulcères duodénal et gastrique, de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse, l’arthrite, les calculs biliaires et rénaux, l’appendicite, les hémorroïdes, le diabète, l’athérosclérose, la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, les maux de tête et les migraines, la dépression, la goutte, et les troubles prémenstruels. Comme il est reconnu que les maladies dégénératives prennent plusieurs années à se créer dans le corps, l’élimination du sucre raffiné de la diète pourrait être un pas important vers la prévention du processus de dégénérescence.
- Gisèle Frenette*
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
Espace ou vous retrouverez les conseils posturaux et les programmes d'entrainements, de mise en forme et nutritionnels que je propose régulièrement aux clients de la clinique. De plus, vous y trouverez différentes références afin de vous percevoir et de percevoir notre monde de manière plus naturelle : Veritatis simplex in.
dimanche 10 mai 2009
dimanche 19 avril 2009
Les vitamines.
Vitamines: leurs fonctions, les meilleures sources
Voici un résumé des fonctions les plus importantes des principales vitamines ainsi que leurs meilleures sources alimentaires.
La vitamine A
La vitamine A est très antioxydante et joue un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle favorise une bonne vision et la croissance des os. Elle préserve la santé de la peau et protège l’organisme contre les infections.
Ses sources
Abats
Hareng mariné
Plusieurs légumes (patate douce, carotte, épinard, chou, courge, rutabaga)
Cantaloup
La vitamine B1 (thiamine)
La vitamine B1 est nécessaire à la production de l’énergie et participe à la transmission de l’influx nerveux ainsi qu’à la croissance.
Ses sources
Produits céréaliers à grains entiers ou enrichis
Certains légumes et fruits (orange, pois vert, etc.)
Légumineuses
Porc et abats
Germe de blé
La vitamine B2 (riboflavine)
Comme la vitamine B1, la vitamine B2 joue un rôle dans la production de l’énergie. Elle sert aussi à la fabrication des globules rouges et des hormones, ainsi qu’à la croissance et à la réparation des tissus.
Ses sources
Produits céréaliers à grains entiers ou enrichis
Volaille
Mollusques
Légumes verts feuillus
Produits laitiers
Oeufs
Noix et graines
La vitamine B3 (niacine)
La vitamine B3 contribue à la production d’énergie. Elle collabore également au processus de formation de l’ADN (matériel génétique), permettant ainsi une croissance et un développement normaux.
Ses sources
Produits céréaliers à grains entiers ou enrichis
Poisson (thon en conserve et thon frais, morue, saumon, etc.)
Viande et volaille (foie, poulet rôti, escalope de veau, etc.)
Arachides
La vitamine B5 (acide pantothénique)
Surnommée « vitamine anti-stress », la vitamine B5 participe à la fabrication et à la régulation des neurotransmetteurs (des messagers de l’influx nerveux) ainsi qu’au fonctionnement des glandes surrénales. Elle joue un rôle dans la formation de l’hémoglobine, de la peau et de muqueuses.
Ses sources
Viande
Céréales de son
Saumon et morue
Oeufs durs
Abats
Graines de tournesol
Champignons
La vitamine B6 (pyridoxine)
La vitamine B6 joue un rôle important dans l’équilibre psychique en agissant, notamment, sur les neurotransmetteurs (sérotonine, mélatonine, dopamine). La pyridoxine contribue à de nombreuses autres fonctions de l’organisme, dont la formation des globules rouges, la régulation du taux de sucre dans le sang et le maintien d’un bon système immunitaire.
Ses sources
Dinde et poulet
Poisson (thon, saumon, morue)
Pois chiches en conserve
Céréales enrichies
Foie (de boeuf et autres animaux)
Pomme de terre au four
Graines de sésame et de tournesol
La vitamine B8 (biotine)
La vitamine B8 est nécessaire à la transformation de plusieurs composés, notamment le glucose et les gras.
Ses sources
Foie et abats
Poisson
Soya et autres légumineuses
Chou-fleur
Jaune d’oeuf
Noix et graines
Grains entiers
La vitamine B9 (acide folique ou folate)
La vitamine B9 est « la vitamine de la femme enceinte », pour son effet protecteur contre les malformations congénitales du tube neural chez le foetus. Elle participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Elle joue un rôle essentiel dans la production de l’ADN et de l’ARN (matériel génétique), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies.
Ses sources
Abats
Plusieurs légumes (épinard, asperge, laitue romaine, betterave et chou de Bruxelles)
Graines de lin et de tournesol
Légumineuses et haricots de soya
Céréales enrichies
La vitamine B12 (cobalamine)
La vitamine B12 participe à la fabrication du matériel génétique des cellules et des globules rouges. Elle veille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.
Ses sources
Poissons et mollusques en conserve (palourde, thon, saumon et sardine)
Viande et volaille
Lait
Poissons et mollusques frais (huître, crabe, thon, truite, crevette, etc.)
Oeufs
Boissons de soya et de riz enrichies
La vitamine C (acide ascorbique)
Outre ses propriétés antioxydantes, la vitamine C contribue à la santé des os, des cartilages, des dents et des gencives. Elle protège contre les infections, accélère la cicatrisation et aide à l’absorption du fer contenu dans les végétaux.
Ses sources
De nombreux légumes (poivron rouge, brocoli, chou de Bruxelles, betterave, etc.)
De nombreux fruits (orange, fraise, kiwi, papaye, mangue, goyave, etc.)
Vitamine D
La vitamine D est essentielle à la santé des os et des dents. Elle permet l’utilisation du calcium et du phosphore présents dans le sang pour la croissance et le maintien de la structure osseuse, entre autres. Elle joue aussi un rôle dans la maturation des cellules, dont celles du système immunitaire, ainsi que dans le maintien d’une bonne santé globale.
Ses sources
Saumon frais et fumé, thon rouge, hareng mariné, sardines en conserve et autres poissons
Boissons de riz et de soya enrichies
Lait de vache et yogourt enrichi
Foie de boeuf
La vitamine E
Antioxydant majeur, la vitamine E protège la membrane qui entoure les cellules du corps, en particulier les globules rouges et les globules blancs (cellules du système immunitaire). Elle a des propriétés anti-inflammatoires et vasodilatatrices et contribue ainsi au bon fonctionnement du coeur.
Ses sources
Amandes, graines de tournesol, noisettes et autres fruits à écale
Huile de canola
Arachides
Céréales de son
Pâte de tomate
Avocat
La vitamine K
Elle intervient dans le processus de la coagulation du sang et dans la calcification des tissus mous. La vitamine K est aussi fabriquée par les bactéries présentes dans l’intestin.
Ses sources
Légumes verts (épinard, bette à carde, chou de Bruxelles, brocoli, asperge, laitue Boston, haricots verts, petits pois)
Kiwi
Algues (nori)
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
Voici un résumé des fonctions les plus importantes des principales vitamines ainsi que leurs meilleures sources alimentaires.
La vitamine A
La vitamine A est très antioxydante et joue un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle favorise une bonne vision et la croissance des os. Elle préserve la santé de la peau et protège l’organisme contre les infections.
Ses sources
Abats
Hareng mariné
Plusieurs légumes (patate douce, carotte, épinard, chou, courge, rutabaga)
Cantaloup
La vitamine B1 (thiamine)
La vitamine B1 est nécessaire à la production de l’énergie et participe à la transmission de l’influx nerveux ainsi qu’à la croissance.
Ses sources
Produits céréaliers à grains entiers ou enrichis
Certains légumes et fruits (orange, pois vert, etc.)
Légumineuses
Porc et abats
Germe de blé
La vitamine B2 (riboflavine)
Comme la vitamine B1, la vitamine B2 joue un rôle dans la production de l’énergie. Elle sert aussi à la fabrication des globules rouges et des hormones, ainsi qu’à la croissance et à la réparation des tissus.
Ses sources
Produits céréaliers à grains entiers ou enrichis
Volaille
Mollusques
Légumes verts feuillus
Produits laitiers
Oeufs
Noix et graines
La vitamine B3 (niacine)
La vitamine B3 contribue à la production d’énergie. Elle collabore également au processus de formation de l’ADN (matériel génétique), permettant ainsi une croissance et un développement normaux.
Ses sources
Produits céréaliers à grains entiers ou enrichis
Poisson (thon en conserve et thon frais, morue, saumon, etc.)
Viande et volaille (foie, poulet rôti, escalope de veau, etc.)
Arachides
La vitamine B5 (acide pantothénique)
Surnommée « vitamine anti-stress », la vitamine B5 participe à la fabrication et à la régulation des neurotransmetteurs (des messagers de l’influx nerveux) ainsi qu’au fonctionnement des glandes surrénales. Elle joue un rôle dans la formation de l’hémoglobine, de la peau et de muqueuses.
Ses sources
Viande
Céréales de son
Saumon et morue
Oeufs durs
Abats
Graines de tournesol
Champignons
La vitamine B6 (pyridoxine)
La vitamine B6 joue un rôle important dans l’équilibre psychique en agissant, notamment, sur les neurotransmetteurs (sérotonine, mélatonine, dopamine). La pyridoxine contribue à de nombreuses autres fonctions de l’organisme, dont la formation des globules rouges, la régulation du taux de sucre dans le sang et le maintien d’un bon système immunitaire.
Ses sources
Dinde et poulet
Poisson (thon, saumon, morue)
Pois chiches en conserve
Céréales enrichies
Foie (de boeuf et autres animaux)
Pomme de terre au four
Graines de sésame et de tournesol
La vitamine B8 (biotine)
La vitamine B8 est nécessaire à la transformation de plusieurs composés, notamment le glucose et les gras.
Ses sources
Foie et abats
Poisson
Soya et autres légumineuses
Chou-fleur
Jaune d’oeuf
Noix et graines
Grains entiers
La vitamine B9 (acide folique ou folate)
La vitamine B9 est « la vitamine de la femme enceinte », pour son effet protecteur contre les malformations congénitales du tube neural chez le foetus. Elle participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Elle joue un rôle essentiel dans la production de l’ADN et de l’ARN (matériel génétique), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies.
Ses sources
Abats
Plusieurs légumes (épinard, asperge, laitue romaine, betterave et chou de Bruxelles)
Graines de lin et de tournesol
Légumineuses et haricots de soya
Céréales enrichies
La vitamine B12 (cobalamine)
La vitamine B12 participe à la fabrication du matériel génétique des cellules et des globules rouges. Elle veille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.
Ses sources
Poissons et mollusques en conserve (palourde, thon, saumon et sardine)
Viande et volaille
Lait
Poissons et mollusques frais (huître, crabe, thon, truite, crevette, etc.)
Oeufs
Boissons de soya et de riz enrichies
La vitamine C (acide ascorbique)
Outre ses propriétés antioxydantes, la vitamine C contribue à la santé des os, des cartilages, des dents et des gencives. Elle protège contre les infections, accélère la cicatrisation et aide à l’absorption du fer contenu dans les végétaux.
Ses sources
De nombreux légumes (poivron rouge, brocoli, chou de Bruxelles, betterave, etc.)
De nombreux fruits (orange, fraise, kiwi, papaye, mangue, goyave, etc.)
Vitamine D
La vitamine D est essentielle à la santé des os et des dents. Elle permet l’utilisation du calcium et du phosphore présents dans le sang pour la croissance et le maintien de la structure osseuse, entre autres. Elle joue aussi un rôle dans la maturation des cellules, dont celles du système immunitaire, ainsi que dans le maintien d’une bonne santé globale.
Ses sources
Saumon frais et fumé, thon rouge, hareng mariné, sardines en conserve et autres poissons
Boissons de riz et de soya enrichies
Lait de vache et yogourt enrichi
Foie de boeuf
La vitamine E
Antioxydant majeur, la vitamine E protège la membrane qui entoure les cellules du corps, en particulier les globules rouges et les globules blancs (cellules du système immunitaire). Elle a des propriétés anti-inflammatoires et vasodilatatrices et contribue ainsi au bon fonctionnement du coeur.
Ses sources
Amandes, graines de tournesol, noisettes et autres fruits à écale
Huile de canola
Arachides
Céréales de son
Pâte de tomate
Avocat
La vitamine K
Elle intervient dans le processus de la coagulation du sang et dans la calcification des tissus mous. La vitamine K est aussi fabriquée par les bactéries présentes dans l’intestin.
Ses sources
Légumes verts (épinard, bette à carde, chou de Bruxelles, brocoli, asperge, laitue Boston, haricots verts, petits pois)
Kiwi
Algues (nori)
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
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gesretcanada@vif.com
dimanche 29 mars 2009
Les minéraux.
Pour continuer dans le même sujet, voici une liste non exhaustive des minéraux nécessaires à notre bon fonctionnement, leurs rôles et leurs provenances les plus courantes de notre alimentation. Cet article est tiré du site internet Passeport santé :
http://www.passeportsante.net/fr/Accueil/Accueil/Accueil.aspx
Le calcium
Le calcium est de loin le minéral le plus abondant dans le corps. Il est le principal composant des os et des dents. Il joue aussi un rôle important dans la coagulation du sang, le maintien de la pression sanguine et la contraction des muscles, dont le coeur.
Les meilleures sources de calcium
Fromage
Lait de vache ou de chèvre
Sardines et saumon (avec arêtes)
Yogourt
Tofu fabriqué avec du sulfate de calcium
Boissons de soya, de riz ou d’orange enrichies
Le cuivre
Le cuivre est nécessaire à la formation des globules rouges et de plusieurs hormones. Il contribue également à la lutte contre les radicaux libres, qui sont néfastes pour l’organisme.
Les meilleures sources de cuivre
Mollusques et crustacés
Viande et volaille
Certains légumes (artichaut, champignon, chicorée)
Noix et graines
Légumineuses (pois chiche, arachide, lentille, etc.)
Chocolat noir
Le fer
Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs
(messagers de l’influx nerveux).
Les meilleures sources de fer
Palourdes
Foie, boudin et autres abats
Autres parties de la viande
Huîtres et crustacés
Viande de cheval
Légumineuses (dont le soya)
L’iode
L’iode sert à la formation des hormones thyroïdiennes qui sont nécessaires à la croissance, au développement et au métabolisme de base.
Les meilleures sources
Poissons de mer (anchois, dorade, maquereau, sardine, etc.)
Algues
Lait
Mollusques et crustacés
Sel iodé
Oeufs
Le magnésium
Le magnésium participe notamment à la santé des dents et des os, au fonctionnement du système immunitaire ainsi qu’à la contraction musculaire. Il joue aussi un rôle dans la production de l’énergie ainsi que dans la transmission de l’influx nerveux.
Les meilleures sources de Magnésium
Haricots noirs, blancs, de soya et autres
Céréale de son
Flétan, goberge et thon rouge
Boisson de soya enrichie
Chocolat noir
Noix du Brésil, de cajou, de pin et amande
Épinard et artichaut
Le manganèse
Le manganèse contribue entre autres à la prévention des dommages causés par les radicaux libres. Il intervient aussi, indirectement, dans une douzaine de processus métaboliques.
Les meilleures sources de Manganèse
Céréales à grains entiers
Noix et graines
Épinard
Cacao
Quinoa
Légumineuses
Thé
Certains fruits (ananas, raisin, framboise)
Le phosphore
Le phosphore est le minéral le plus abondant de l’organisme, après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il participe à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Le phosphore est aussi l’un des constituants des membranes cellulaires.
Les meilleures sources
Graines de citrouille et de tournesol
Haricots de soya et lentilles
Yogourt et lait
Foie de boeuf et abats de volaille
Plusieurs poissons et fruits de mer (goberge, doré, espadon, saumon, palourde, flétan, sole et aiglefin)
Le potassium
Le potassium sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. Il facilite la contraction des muscles, dont le coeur, et participe à la transmission de l’influx nerveux.
Les meilleures sources
Haricots blanc et de soya et autres légumineuses
Tomates en conserve
Banane
Pomme de terre au four
Épinard, courge et artichaut
Plusieurs poissons et fruits de mer (palourde, flétan, thon, morue, sébaste, saumon)
Le sélénium
Le sélénium a une capacité antioxydante non négligeable. Il est essentiel au bon fonctionnement du système immunitaire et de la glande thyroïde.
Les meilleures sources
Noix du Brésil
Poisson frais (thon, flétan, morue, sébaste, sole, etc.)
Diverses viandes (viande brune de dinde, côtelette de porc, ronde de boeuf, etc.)
Huîtres, hareng mariné, thon et palourdes en conserve
Abats de volaille
Le zinc
Le zinc joue un rôle important dans la croissance et le développement de l’organisme, dans le système immunitaire (notamment la cicatrisation) ainsi que dans les fonctions neurologiques et reproductives.
Les meilleures sources
Germe de blé
Mollusques et crustacés (huître, crabe, palourdes en conserve, homard, etc.)
Viande et abats (foie de veau, boeuf haché, agneau, etc.)
Légumineuses
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
http://www.passeportsante.net/fr/Accueil/Accueil/Accueil.aspx
Le calcium
Le calcium est de loin le minéral le plus abondant dans le corps. Il est le principal composant des os et des dents. Il joue aussi un rôle important dans la coagulation du sang, le maintien de la pression sanguine et la contraction des muscles, dont le coeur.
Les meilleures sources de calcium
Fromage
Lait de vache ou de chèvre
Sardines et saumon (avec arêtes)
Yogourt
Tofu fabriqué avec du sulfate de calcium
Boissons de soya, de riz ou d’orange enrichies
Le cuivre
Le cuivre est nécessaire à la formation des globules rouges et de plusieurs hormones. Il contribue également à la lutte contre les radicaux libres, qui sont néfastes pour l’organisme.
Les meilleures sources de cuivre
Mollusques et crustacés
Viande et volaille
Certains légumes (artichaut, champignon, chicorée)
Noix et graines
Légumineuses (pois chiche, arachide, lentille, etc.)
Chocolat noir
Le fer
Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs
(messagers de l’influx nerveux).
Les meilleures sources de fer
Palourdes
Foie, boudin et autres abats
Autres parties de la viande
Huîtres et crustacés
Viande de cheval
Légumineuses (dont le soya)
L’iode
L’iode sert à la formation des hormones thyroïdiennes qui sont nécessaires à la croissance, au développement et au métabolisme de base.
Les meilleures sources
Poissons de mer (anchois, dorade, maquereau, sardine, etc.)
Algues
Lait
Mollusques et crustacés
Sel iodé
Oeufs
Le magnésium
Le magnésium participe notamment à la santé des dents et des os, au fonctionnement du système immunitaire ainsi qu’à la contraction musculaire. Il joue aussi un rôle dans la production de l’énergie ainsi que dans la transmission de l’influx nerveux.
Les meilleures sources de Magnésium
Haricots noirs, blancs, de soya et autres
Céréale de son
Flétan, goberge et thon rouge
Boisson de soya enrichie
Chocolat noir
Noix du Brésil, de cajou, de pin et amande
Épinard et artichaut
Le manganèse
Le manganèse contribue entre autres à la prévention des dommages causés par les radicaux libres. Il intervient aussi, indirectement, dans une douzaine de processus métaboliques.
Les meilleures sources de Manganèse
Céréales à grains entiers
Noix et graines
Épinard
Cacao
Quinoa
Légumineuses
Thé
Certains fruits (ananas, raisin, framboise)
Le phosphore
Le phosphore est le minéral le plus abondant de l’organisme, après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il participe à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Le phosphore est aussi l’un des constituants des membranes cellulaires.
Les meilleures sources
Graines de citrouille et de tournesol
Haricots de soya et lentilles
Yogourt et lait
Foie de boeuf et abats de volaille
Plusieurs poissons et fruits de mer (goberge, doré, espadon, saumon, palourde, flétan, sole et aiglefin)
Le potassium
Le potassium sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. Il facilite la contraction des muscles, dont le coeur, et participe à la transmission de l’influx nerveux.
Les meilleures sources
Haricots blanc et de soya et autres légumineuses
Tomates en conserve
Banane
Pomme de terre au four
Épinard, courge et artichaut
Plusieurs poissons et fruits de mer (palourde, flétan, thon, morue, sébaste, saumon)
Le sélénium
Le sélénium a une capacité antioxydante non négligeable. Il est essentiel au bon fonctionnement du système immunitaire et de la glande thyroïde.
Les meilleures sources
Noix du Brésil
Poisson frais (thon, flétan, morue, sébaste, sole, etc.)
Diverses viandes (viande brune de dinde, côtelette de porc, ronde de boeuf, etc.)
Huîtres, hareng mariné, thon et palourdes en conserve
Abats de volaille
Le zinc
Le zinc joue un rôle important dans la croissance et le développement de l’organisme, dans le système immunitaire (notamment la cicatrisation) ainsi que dans les fonctions neurologiques et reproductives.
Les meilleures sources
Germe de blé
Mollusques et crustacés (huître, crabe, palourdes en conserve, homard, etc.)
Viande et abats (foie de veau, boeuf haché, agneau, etc.)
Légumineuses
Stéphane Dreux
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dimanche 15 mars 2009
Diète de transition sur 6 semaines.
Pour faire suite à l’article sur les bases de la nutrition, voici une traduction d’un article trouvé sur le web concernant quelques règles à respecter afin de pouvoir modifier ces habitudes alimentaires.
D’une certaine façon, changer votre diète est identique à adopter une nouvelle résolution ce qui est avant tout très théorique. Votre premier objectif à longs termes et juste de bien manger. Au fur et à mesure de vos changements d’habitudes alimentaires, vous remarquerez d’autres changements comme une perte de poids, un gain d’énergie, etc. La meilleure façon d’accomplir ceci est une transition graduelle de nourriture néfaste ou qui n’aide pas à des choix d’aliments sains. La transition graduelle sur une période de six semaines, semble être un bon choix de diète recommandée. En travaillant sur un cycle de 6 semaines, vous entraînerez votre corps à des faims pour des aliments sains. Ce cycle est plus facile si vous vous entraînez car le corps demandera les aliments appropriés afin de rebâtir les tissus endommagés.
Semaine 1.
Eliminez toute junk-food de votre alimentation. Simple, ce n’est pas de la nourriture : pas de croustilles, bonbons, crème glacée etc. Les apports calorifiques sont nuls et ceux en gras-trans par contre sont énormes. Les taux de sucres simples et de sodium sont toujours énormément élevés. Autres que cela, vous pouvez manger tout ce que vous voulez. Et le truc, c’est que vous pouvez tricher 2 fois c'est-à-dire 2 jours entiers, vous pouvez manger ce que vous voulez et tout de même remporter la victoire.
Semaine 2
Ne manger pas 3 heures avant de vous coucher. De cette manière, votre corps peut se mettre en mode ‘’ Fonte de gras’’ plutôt qu’en mode ‘’stockage de calories’’. De plus, chaque semaine, la règle précédente s’applique toujours c'est-à-dire, pas de junk sauf pour 2 jours pendant lesquels vous pouvez tricher et manger ce qui vous plait.
Semaine 3.
Mangez 5 à 6 petits repas par jour. Si vous vous contrôlez à appliquer correctement cette règle, vous n’aurez plus de rage. Essayez de conserver un équilibre sur chacun de vos repas entre les nutriments, c'est-à-dire 40 % de glucides, 30 % de protéines et 30 % de lipides. Et surtout mangez en fonction de vos activités des 3 prochaines heures : si vous vous entraînez, mangez plus, si vous travaillez au bureau, mangez moins. Toujours appliquer les règles précédentes, pas de junk-food, ne pas manger 3 heures avant de vous coucher et vous pouvez encore tricher 2 jours.
Semaine 4.
Maintenant est venue le temps d’éliminer la junk-food et l’alcool. Les gens ont tendance à oublier que l’alcool se transforme en sucre donc en calories et cela ralentie notre métabolisme. Cette fois-ci, vous ne pouvez tricher qu’UNE journée dans la semaine.
Semaine 5.
Mangez de la nourriture entière. Vous devez ainsi éliminer toute nourriture transformée de votre diète comme le pain, la plupart des assaisonnement commerciaux de salade, quasiment toutes les céréales, fromage, etc, tous les aliments contenants des conservateurs, des colorants, et la plupart de la nourriture servie dans les restaurants. Ce que vous pouvez manger est la nourriture entières comme les fruits, les légumes (à la vapeur de préférence et ils doivent rester un peu croquants) ou au Wok, la viande maigre (bison, chevreuil, volaille blanche). Éliminez le bœuf (trop gras et transformé) et surtout le porc. Ensuite, les grains entiers comme le riz complet, n’oubliez pas les blancs d’œufs qui sont des protéines extraordinaires. Cela ne devrait pas être trop difficile car vos habitudes ont changé doucement depuis 4 semaines déjà. Malgré tout, c’est une semaine difficile, car vous aurez l’impression de suivre une diète alors que vous ne mangez que naturellement. Essayez de ne pas tricher mais si vous vous surprenez à une rage, gardez cela au minimum. If man do it, don’t eat it !
Semaine 6
Mangez sainement. Mangez ce que vous voulez en respectant toujours les règles précédentes des 5 dernières semaines. Vous pourriez être surpris cette fois-ci à avoir des rages pour des aliments sains au lieu de votre sac de chips ou de votre tablettes de chocolat. Vous devriez être maintenant plus en contact avec les besoins de votre organisme qui vous dira toujours ce dont vous avez besoin en comparaison de ce que vous aviez l’habitude de manger. Allouez-vous quelques jours par mois pour tricher et être indulgent avec vous-même.
Maintenant prenez un break et ne pensez plus à votre diète. Est-ce que vos habitudes ont changé ? Vous pourriez observer que votre corps s’est transformé et que vous avez brûlé du gras. Plus important que tout, vous avez réussi à modifier votre style de vie et vos habitudes alimentaires de manière graduelle et votre corps conservera ce changement, sans trop d’effort de votre part.
Maintenant vous devriez en savoir assez à propos de vous pour planifier vos prochaines 6 semaines. Malgré tout conservez vos jours de triche. Ils sont importants et pas juste parce qu’ils vous permettent d’avoir du fun. A chaque fois que vous contrôlez votre apport calorifique, votre métabolisme veut ralentir car il pense que vous manquez de nourriture. En trichant quelques jours, vous induisez votre métabolisme en erreur en le gardant élevé donc vous brûlez plus de gras
Soyez déterminé et n’hésitez pas à demander de l’aide au besoin.
Bon courage et bonne santé.
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
D’une certaine façon, changer votre diète est identique à adopter une nouvelle résolution ce qui est avant tout très théorique. Votre premier objectif à longs termes et juste de bien manger. Au fur et à mesure de vos changements d’habitudes alimentaires, vous remarquerez d’autres changements comme une perte de poids, un gain d’énergie, etc. La meilleure façon d’accomplir ceci est une transition graduelle de nourriture néfaste ou qui n’aide pas à des choix d’aliments sains. La transition graduelle sur une période de six semaines, semble être un bon choix de diète recommandée. En travaillant sur un cycle de 6 semaines, vous entraînerez votre corps à des faims pour des aliments sains. Ce cycle est plus facile si vous vous entraînez car le corps demandera les aliments appropriés afin de rebâtir les tissus endommagés.
Semaine 1.
Eliminez toute junk-food de votre alimentation. Simple, ce n’est pas de la nourriture : pas de croustilles, bonbons, crème glacée etc. Les apports calorifiques sont nuls et ceux en gras-trans par contre sont énormes. Les taux de sucres simples et de sodium sont toujours énormément élevés. Autres que cela, vous pouvez manger tout ce que vous voulez. Et le truc, c’est que vous pouvez tricher 2 fois c'est-à-dire 2 jours entiers, vous pouvez manger ce que vous voulez et tout de même remporter la victoire.
Semaine 2
Ne manger pas 3 heures avant de vous coucher. De cette manière, votre corps peut se mettre en mode ‘’ Fonte de gras’’ plutôt qu’en mode ‘’stockage de calories’’. De plus, chaque semaine, la règle précédente s’applique toujours c'est-à-dire, pas de junk sauf pour 2 jours pendant lesquels vous pouvez tricher et manger ce qui vous plait.
Semaine 3.
Mangez 5 à 6 petits repas par jour. Si vous vous contrôlez à appliquer correctement cette règle, vous n’aurez plus de rage. Essayez de conserver un équilibre sur chacun de vos repas entre les nutriments, c'est-à-dire 40 % de glucides, 30 % de protéines et 30 % de lipides. Et surtout mangez en fonction de vos activités des 3 prochaines heures : si vous vous entraînez, mangez plus, si vous travaillez au bureau, mangez moins. Toujours appliquer les règles précédentes, pas de junk-food, ne pas manger 3 heures avant de vous coucher et vous pouvez encore tricher 2 jours.
Semaine 4.
Maintenant est venue le temps d’éliminer la junk-food et l’alcool. Les gens ont tendance à oublier que l’alcool se transforme en sucre donc en calories et cela ralentie notre métabolisme. Cette fois-ci, vous ne pouvez tricher qu’UNE journée dans la semaine.
Semaine 5.
Mangez de la nourriture entière. Vous devez ainsi éliminer toute nourriture transformée de votre diète comme le pain, la plupart des assaisonnement commerciaux de salade, quasiment toutes les céréales, fromage, etc, tous les aliments contenants des conservateurs, des colorants, et la plupart de la nourriture servie dans les restaurants. Ce que vous pouvez manger est la nourriture entières comme les fruits, les légumes (à la vapeur de préférence et ils doivent rester un peu croquants) ou au Wok, la viande maigre (bison, chevreuil, volaille blanche). Éliminez le bœuf (trop gras et transformé) et surtout le porc. Ensuite, les grains entiers comme le riz complet, n’oubliez pas les blancs d’œufs qui sont des protéines extraordinaires. Cela ne devrait pas être trop difficile car vos habitudes ont changé doucement depuis 4 semaines déjà. Malgré tout, c’est une semaine difficile, car vous aurez l’impression de suivre une diète alors que vous ne mangez que naturellement. Essayez de ne pas tricher mais si vous vous surprenez à une rage, gardez cela au minimum. If man do it, don’t eat it !
Semaine 6
Mangez sainement. Mangez ce que vous voulez en respectant toujours les règles précédentes des 5 dernières semaines. Vous pourriez être surpris cette fois-ci à avoir des rages pour des aliments sains au lieu de votre sac de chips ou de votre tablettes de chocolat. Vous devriez être maintenant plus en contact avec les besoins de votre organisme qui vous dira toujours ce dont vous avez besoin en comparaison de ce que vous aviez l’habitude de manger. Allouez-vous quelques jours par mois pour tricher et être indulgent avec vous-même.
Maintenant prenez un break et ne pensez plus à votre diète. Est-ce que vos habitudes ont changé ? Vous pourriez observer que votre corps s’est transformé et que vous avez brûlé du gras. Plus important que tout, vous avez réussi à modifier votre style de vie et vos habitudes alimentaires de manière graduelle et votre corps conservera ce changement, sans trop d’effort de votre part.
Maintenant vous devriez en savoir assez à propos de vous pour planifier vos prochaines 6 semaines. Malgré tout conservez vos jours de triche. Ils sont importants et pas juste parce qu’ils vous permettent d’avoir du fun. A chaque fois que vous contrôlez votre apport calorifique, votre métabolisme veut ralentir car il pense que vous manquez de nourriture. En trichant quelques jours, vous induisez votre métabolisme en erreur en le gardant élevé donc vous brûlez plus de gras
Soyez déterminé et n’hésitez pas à demander de l’aide au besoin.
Bon courage et bonne santé.
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
vendredi 6 mars 2009
Le Chlorure de Magnésium
En ces temps froids et propices aux grippes et rhumes de toutes sortes, voici un article issus du Web concernant un oligo-élément puissant et qui fait souvent défaut dans notre alimentation : le magnésium. À utiliser en cure de 1 mois pour entretien.
Attention veuillez respecter les dosages indiqués pour les enfants.
Le chlorure de magnésium
Des bienfaits trop souvent méconnus du Magnésium
Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, ce n'est pas de calcium que nous avons le plus besoin, mais de magnésium, un oligo-élément essentiel qui a disparu de notre alimentation en raison du raffinage des céréales d'une part, mais aussi et surtout des méfaits de l'agriculture intensive.
D'autre raisons peuvent être encore invoquées pour la carence alimentaire en magnésium : le raffinage du sel lui fait perdre une grande quantité de magnésium, les conservateurs utilisés dans l'industrie alimentaire, mais aussi la consommation d'alcool.
Nos besoins quotidiens en magnésium sont de 350 à 480 mg/jour - 400 mg/jour pour les femmes enceintes.
Au 19è siècle, alors que notre alimentation était plus équilibrée et pas encore dévitalisée par l'agriculture industrielle, la carence en magnésium n'existait pas. Il suffisait de manger 500gr de pain complet au levain qui amenait quotidiennement l'apport nécessaire. Le pain que nous mangeons aujourd'hui n'en apporte que des quantités infimes.
Le magnésium n'est pas un médicament, c'est un aliment absolument nécessaire puisque son absence totale est incompatible avec la vie. Il est nécessaire à tous les processus biochimiques de votre organisme, au métabolisme, à la synthèse des acides nucléiques et des protéines, et à la majorité des fonctions de notre organisme, comme la reproduction cellulaire, la production d'énergie, la transmission des influx nerveux. Dans ce dernier cas, le magnésium profondément lié au calcium puisqu'il assure sa fixation, est l'un des principaux aliments de la cellule nerveuse ; dans tous les troubles du système nerveux (nervosité, dépression, insomnie, anxiété...) on constate la carence de magnésium.
Dans certains cas, le rôle du magnésium par rapport au calcium est intéressant à bien des égards. Déjà, on sait que c'est le magnésium qui fixe le calcium et intervient dans le métabolisme calcique sur les glandes parathyroïdes. Au niveau cellulaire, il contrôle et régule l'entrée du calcium dans la cellule et les liquides intracellulaires.
Préparation du Chlorure de Magnésium
Il se vend en magasin diététique, en sachets de 20g que l'on dilue dans 1 litre d'eau.
Il est conseillé de le conserver au réfrigérateur pour tuer un peu la saveur âcre et amère.
Il est aujourd'hui prouvé que le magnésium est présent dans tous les tissus et organes, qu'il participe à la bonne marche de toutes les grandes fonctions de l'organisme sans exception. Comme l'organisme ne dispose d'aucune réserve en magnésium, il lui faut un apport régulier journalier pour faire face à ses besoins physiologiques, faute de quoi des troubles vont survenir plus ou moins rapidement au niveau de telle ou telle fonction organique selon la fragilité de chacun.
La malabsorption du magnésium est associée aux problèmes gastro-intestinaux.
L'insuffisance chronique peut produire des dommages à long terme et peut être mortelle.
99% des hommes sont en déficit en magnésium (dans le monde moderne).
Problèmes dus au manque de magnésium
Fatigue chronique ainsi que tout manque d'énergie, réactions émotives, dépressions, comportement psychotique, impulsion rapide, confusion, colère, nervosité, irritabilité, incapacité de penser clairement, insomnie, spasmes musculaires, tremblements, convulsions, sensibilité excessive à la douleur, problèmes vasculaires, durcissement des artères, arthrite, maladies cardiovasculaires, fibromyalgie, spasme vasculaires, spasmophilie, palpitations, crampes.
On a pu constater que l'apport de chlorure de magnésium à une action très positive sur :
-L'anxiété et son cortège de signes fonctionnels souvent caractéristiques : sensation de boule dans la gorge, sensation d'oppression thoracique, palpitations, troubles du sommeil, hyperémotivité etc...
-Douleurs diverses sans explication organique ou fonctionnelle, se traduisant le plus souvent par des céphalées ou migraines, des douleurs vertébrales, des douleurs musculaires et articulaires mal systématisées.
-Infections diverses : il est générateur d'un anticorps non spécifique, la properdine (protide magnésien) qui est un bactéricide très puissant (les résultats sont ahurissants).
-L'hyperexcitabilité neuromusculaire, notamment les contractions musculaire incontrôlables au niveau des paupières, crampes musculaires.
-Artériosclérose et hypertension : il détruit les lipides en excès par effet de catalyse des déshydrates.
-État de choc (et chocs opératoires) : il prévient les ruptures de métabolisme et rétablit celui-ci.
-Hyperthyroïdie : c'est un régulateur puissant.
-Rachitisme : il active la phosphatase alcaline des os. Notre corps à la faculté de le transformer en calcium. Le magnésium est une clef à l'absorption du calcium.
-Tétanie : traitement spécifique de la tétanie. Dans le sang total il y a dans ce cas une chute de 0,035 g d'ion magnésium libre par litre, à 0,015 g par litre.
-Insuffisance hépatique: il active les enzymes pour la régénération des sucres.
-Grossesse : à partir du 2ème mois, le taux en magnésium s'effondre généralement chez la femme enceinte, à cause des besoins du foetus.
-Thrombose : il active les thrombocytes. C'est le meilleur anti-coagulant et le meilleur anti-thrombotique. Indispensable les derniers jours avant l'accouchement et les deux semaines suivantes.
-Équilibre nerveux : le système nerveux est sous la dépendance de l'équilibre calcium / magnésium. S'il y a rupture d'équilibre, le fonctionnement du cerveau en est affecté.
-Digestion : il active les enzymes digestifs.
-Vitamines : la vitamine C n'est active qu'en présence d'ions magnésium.
-Système cardio-vasculaire : les ions magnésium aident à fluidifier le sang et à assouplir les vaisseaux, calment les nerfs, empêchent la formation des athéromes. Supprime l'angine de poitrine. Régularise le rythme des battements du coeur, stimule le bon cholestérol, réduit le taux de triglycérides.
-Vieillissement : avec l'âge, la teneur du sang et des cellules en magnésium tendent à baisser. Le magnésium pris à doses régulières freine le vieillissement des cellules (pour les doses régulières prendre plutôt le NIGARI, voir plus loin) et éloigne les radicaux libres.
-Plaies : toute plaie est une brèche dangereuse laissant place à l'invasion de poisons et de microbes. Le corps réagit immédiatement en mobilisant sur place des anticorps, des leucocytes, des microphages qui s'attaquent aux microbes, des macrophages qui s'attaquent aux gros éléments étrangers, tandis que les thrombocytes tentent de colmater l'ouverture. Le pouvoir phagocytaire des leucocytes, activé par le chlorure de magnésium est augmenté jusqu'à 300%. Toute plaie devrait être traitée par voie interne et externe avec du chlorure de magnésium. Cette méthode ne présente pas les inconvénients des produits alcoolisés qui nécrosent partiellement les cellules de la plaie, entravant ainsi le travail de la cicatrisation.
-Traitement de recharge: boire le matin à jeun 50 ml de la solution de préférence avec une tisane de son choix ou un jus de fruits ou de légumes. A faire 20 jours suivie d'un arrêt de 10 jours (impératif) puis recommencer si nécessaire. On absorbe donc 1 litre en 20 jours. Ceci peut se faire une saison, ou bien à l'occasion d'un "coup de barre", d'une grossesse, d'un allaitement, d'une maladie quelconque.
-Traitement cytophylactique d'urgence (activation des moyens de défense) : prise de 60 ml de
la solution toutes les 3 heures ou 40 ml toutes les 2 heures. Ceci doit déclencher une diarrhée. La diarrhée est le critère de la réussite et de l'effet du traitement. S'il y a fièvre, elle s'abaisse automatiquement entre 38° et 39°, jamais plus. Cette prise ne doit pas excéder 4 à 5 jours. On peut continuer ensuite à raison de 50 ml le matin et le soir.
Si au début la diarrhée est trop forte, réduire la dose. Ne pas s'inquiéter, il n'y a aucun danger.
Cette dose massive anti-infectieuse est valable pour toutes les infections, même virales.
Contre-indication : personne ayant eu les reins fragilisés (par une néphrite par exemple). Le signal se manifeste par une fatigue importante après les prises (dans ce cas prendre du NIGARI).
Usage : doses maxima pour les enfants :
5 ans et + : 125 ml toutes les 6 heures ou 40 ml toutes les 2 heures.
4 ans 100 ml toutes les 6 heures.
3 ans 80 ml toutes les 6 heures.
2 ans 20 ml toutes les 2 heures.
Nourrissons : de 1à4 cuillères à café toutes les 3 heures.
On peut diluer dans un peu d'eau ou du jus de fruits la solution préparée pour atténuer le goût amer.
Nigari : en ce qui concerne les cures d'entretien, il est conseillé de prendre plutôt le NIGARI qui est une algue très riche en chlorure de magnésium sous sa forme naturelle (en boutique diététique). Le fait d'habituer l'organisme au chlorure de magnésium (qui est tiré de la mer un peu comme le sel) érode ses réactions, et si soudainement, on a besoin pour une urgence de passer aux doses massives anti-infectieuses, le résultats risque d'être décevant.
Quelques paillettes de NIGARI dans les aliments de temps en temps assurent une charge magnésienne adéquate tout au long de l'année.
-Brûlures : appliquer une compresse de chlorure de magnésium, la douleur cesse immédiatement, il faut toujours avoir chez soi du chlorure de magnésium prêt : 1 sachet ou 20g dans un litre d'eau.
Lorsque le pansement est en place, on peut le réhydrater en versant du chlorure de magnésium sans pour autant défaire le pansement. Il n'y aura jamais d'infection.
Source : http://www.onnouscachetout.com/le-chlorure-de-magnesium
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
Attention veuillez respecter les dosages indiqués pour les enfants.
Le chlorure de magnésium
Des bienfaits trop souvent méconnus du Magnésium
Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, ce n'est pas de calcium que nous avons le plus besoin, mais de magnésium, un oligo-élément essentiel qui a disparu de notre alimentation en raison du raffinage des céréales d'une part, mais aussi et surtout des méfaits de l'agriculture intensive.
D'autre raisons peuvent être encore invoquées pour la carence alimentaire en magnésium : le raffinage du sel lui fait perdre une grande quantité de magnésium, les conservateurs utilisés dans l'industrie alimentaire, mais aussi la consommation d'alcool.
Nos besoins quotidiens en magnésium sont de 350 à 480 mg/jour - 400 mg/jour pour les femmes enceintes.
Au 19è siècle, alors que notre alimentation était plus équilibrée et pas encore dévitalisée par l'agriculture industrielle, la carence en magnésium n'existait pas. Il suffisait de manger 500gr de pain complet au levain qui amenait quotidiennement l'apport nécessaire. Le pain que nous mangeons aujourd'hui n'en apporte que des quantités infimes.
Le magnésium n'est pas un médicament, c'est un aliment absolument nécessaire puisque son absence totale est incompatible avec la vie. Il est nécessaire à tous les processus biochimiques de votre organisme, au métabolisme, à la synthèse des acides nucléiques et des protéines, et à la majorité des fonctions de notre organisme, comme la reproduction cellulaire, la production d'énergie, la transmission des influx nerveux. Dans ce dernier cas, le magnésium profondément lié au calcium puisqu'il assure sa fixation, est l'un des principaux aliments de la cellule nerveuse ; dans tous les troubles du système nerveux (nervosité, dépression, insomnie, anxiété...) on constate la carence de magnésium.
Dans certains cas, le rôle du magnésium par rapport au calcium est intéressant à bien des égards. Déjà, on sait que c'est le magnésium qui fixe le calcium et intervient dans le métabolisme calcique sur les glandes parathyroïdes. Au niveau cellulaire, il contrôle et régule l'entrée du calcium dans la cellule et les liquides intracellulaires.
Préparation du Chlorure de Magnésium
Il se vend en magasin diététique, en sachets de 20g que l'on dilue dans 1 litre d'eau.
Il est conseillé de le conserver au réfrigérateur pour tuer un peu la saveur âcre et amère.
Il est aujourd'hui prouvé que le magnésium est présent dans tous les tissus et organes, qu'il participe à la bonne marche de toutes les grandes fonctions de l'organisme sans exception. Comme l'organisme ne dispose d'aucune réserve en magnésium, il lui faut un apport régulier journalier pour faire face à ses besoins physiologiques, faute de quoi des troubles vont survenir plus ou moins rapidement au niveau de telle ou telle fonction organique selon la fragilité de chacun.
La malabsorption du magnésium est associée aux problèmes gastro-intestinaux.
L'insuffisance chronique peut produire des dommages à long terme et peut être mortelle.
99% des hommes sont en déficit en magnésium (dans le monde moderne).
Problèmes dus au manque de magnésium
Fatigue chronique ainsi que tout manque d'énergie, réactions émotives, dépressions, comportement psychotique, impulsion rapide, confusion, colère, nervosité, irritabilité, incapacité de penser clairement, insomnie, spasmes musculaires, tremblements, convulsions, sensibilité excessive à la douleur, problèmes vasculaires, durcissement des artères, arthrite, maladies cardiovasculaires, fibromyalgie, spasme vasculaires, spasmophilie, palpitations, crampes.
On a pu constater que l'apport de chlorure de magnésium à une action très positive sur :
-L'anxiété et son cortège de signes fonctionnels souvent caractéristiques : sensation de boule dans la gorge, sensation d'oppression thoracique, palpitations, troubles du sommeil, hyperémotivité etc...
-Douleurs diverses sans explication organique ou fonctionnelle, se traduisant le plus souvent par des céphalées ou migraines, des douleurs vertébrales, des douleurs musculaires et articulaires mal systématisées.
-Infections diverses : il est générateur d'un anticorps non spécifique, la properdine (protide magnésien) qui est un bactéricide très puissant (les résultats sont ahurissants).
-L'hyperexcitabilité neuromusculaire, notamment les contractions musculaire incontrôlables au niveau des paupières, crampes musculaires.
-Artériosclérose et hypertension : il détruit les lipides en excès par effet de catalyse des déshydrates.
-État de choc (et chocs opératoires) : il prévient les ruptures de métabolisme et rétablit celui-ci.
-Hyperthyroïdie : c'est un régulateur puissant.
-Rachitisme : il active la phosphatase alcaline des os. Notre corps à la faculté de le transformer en calcium. Le magnésium est une clef à l'absorption du calcium.
-Tétanie : traitement spécifique de la tétanie. Dans le sang total il y a dans ce cas une chute de 0,035 g d'ion magnésium libre par litre, à 0,015 g par litre.
-Insuffisance hépatique: il active les enzymes pour la régénération des sucres.
-Grossesse : à partir du 2ème mois, le taux en magnésium s'effondre généralement chez la femme enceinte, à cause des besoins du foetus.
-Thrombose : il active les thrombocytes. C'est le meilleur anti-coagulant et le meilleur anti-thrombotique. Indispensable les derniers jours avant l'accouchement et les deux semaines suivantes.
-Équilibre nerveux : le système nerveux est sous la dépendance de l'équilibre calcium / magnésium. S'il y a rupture d'équilibre, le fonctionnement du cerveau en est affecté.
-Digestion : il active les enzymes digestifs.
-Vitamines : la vitamine C n'est active qu'en présence d'ions magnésium.
-Système cardio-vasculaire : les ions magnésium aident à fluidifier le sang et à assouplir les vaisseaux, calment les nerfs, empêchent la formation des athéromes. Supprime l'angine de poitrine. Régularise le rythme des battements du coeur, stimule le bon cholestérol, réduit le taux de triglycérides.
-Vieillissement : avec l'âge, la teneur du sang et des cellules en magnésium tendent à baisser. Le magnésium pris à doses régulières freine le vieillissement des cellules (pour les doses régulières prendre plutôt le NIGARI, voir plus loin) et éloigne les radicaux libres.
-Plaies : toute plaie est une brèche dangereuse laissant place à l'invasion de poisons et de microbes. Le corps réagit immédiatement en mobilisant sur place des anticorps, des leucocytes, des microphages qui s'attaquent aux microbes, des macrophages qui s'attaquent aux gros éléments étrangers, tandis que les thrombocytes tentent de colmater l'ouverture. Le pouvoir phagocytaire des leucocytes, activé par le chlorure de magnésium est augmenté jusqu'à 300%. Toute plaie devrait être traitée par voie interne et externe avec du chlorure de magnésium. Cette méthode ne présente pas les inconvénients des produits alcoolisés qui nécrosent partiellement les cellules de la plaie, entravant ainsi le travail de la cicatrisation.
-Traitement de recharge: boire le matin à jeun 50 ml de la solution de préférence avec une tisane de son choix ou un jus de fruits ou de légumes. A faire 20 jours suivie d'un arrêt de 10 jours (impératif) puis recommencer si nécessaire. On absorbe donc 1 litre en 20 jours. Ceci peut se faire une saison, ou bien à l'occasion d'un "coup de barre", d'une grossesse, d'un allaitement, d'une maladie quelconque.
-Traitement cytophylactique d'urgence (activation des moyens de défense) : prise de 60 ml de
la solution toutes les 3 heures ou 40 ml toutes les 2 heures. Ceci doit déclencher une diarrhée. La diarrhée est le critère de la réussite et de l'effet du traitement. S'il y a fièvre, elle s'abaisse automatiquement entre 38° et 39°, jamais plus. Cette prise ne doit pas excéder 4 à 5 jours. On peut continuer ensuite à raison de 50 ml le matin et le soir.
Si au début la diarrhée est trop forte, réduire la dose. Ne pas s'inquiéter, il n'y a aucun danger.
Cette dose massive anti-infectieuse est valable pour toutes les infections, même virales.
Contre-indication : personne ayant eu les reins fragilisés (par une néphrite par exemple). Le signal se manifeste par une fatigue importante après les prises (dans ce cas prendre du NIGARI).
Usage : doses maxima pour les enfants :
5 ans et + : 125 ml toutes les 6 heures ou 40 ml toutes les 2 heures.
4 ans 100 ml toutes les 6 heures.
3 ans 80 ml toutes les 6 heures.
2 ans 20 ml toutes les 2 heures.
Nourrissons : de 1à4 cuillères à café toutes les 3 heures.
On peut diluer dans un peu d'eau ou du jus de fruits la solution préparée pour atténuer le goût amer.
Nigari : en ce qui concerne les cures d'entretien, il est conseillé de prendre plutôt le NIGARI qui est une algue très riche en chlorure de magnésium sous sa forme naturelle (en boutique diététique). Le fait d'habituer l'organisme au chlorure de magnésium (qui est tiré de la mer un peu comme le sel) érode ses réactions, et si soudainement, on a besoin pour une urgence de passer aux doses massives anti-infectieuses, le résultats risque d'être décevant.
Quelques paillettes de NIGARI dans les aliments de temps en temps assurent une charge magnésienne adéquate tout au long de l'année.
-Brûlures : appliquer une compresse de chlorure de magnésium, la douleur cesse immédiatement, il faut toujours avoir chez soi du chlorure de magnésium prêt : 1 sachet ou 20g dans un litre d'eau.
Lorsque le pansement est en place, on peut le réhydrater en versant du chlorure de magnésium sans pour autant défaire le pansement. Il n'y aura jamais d'infection.
Source : http://www.onnouscachetout.com/le-chlorure-de-magnesium
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
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Nutrition : les bases
Vous êtes nombreux en clinique à me poser des questions sur la nutrition. Bien souvent nous pensons bien manger mais après quelques observations, il s’avère que nos connaissances de bases sur la nutrition s’arrête à manger plus de légumes et de fruits, diminuer nos portions et faire attention à ne pas trop manger de cochonneries sucrées. Ce qui est normal car on nous le répète sans cesse dans nos médias à grand coups de Madame chose, docteur en nutrition et surtout n’oubliez pas vos 2 verres de lait pour pas casser les os de mémère.
Après plusieurs recherches et de nombreuses lectures et bien sûr, expérimentations culinaires, je vous livre, ici, ma vision d’une nutrition saine et qui ne correspondra peut être pas avec les recommandations du guide alimentaire Canadien. (Qui me sert à caler ma commode….)
Mais d’abords voici quelques définitions de bases.
Toute alimentation saine et équilibrée c'est-à-dire pour monsieur et madame tout le monde, (nous parlerons plus loin des diètes amaigrissantes et de l’alimentation des sportifs) doit comprendre un mélange de diverses substances essentielles au fonctionnement de l’organisme : les macro et les micronutriments.
Les micronutriments sont toutes les vitamines et sels minéraux essentiels à l’équilibre homéostatique de notre organisme. Ce sont ceux qui permettent une bonne chimie, et tous les processus de transformations dans notre organisme comme la digestion des macronutriments par exemple.
Les macro nutriments sont :
Les glucides ou sucres rapide ou lents
Les protéines
Les lipides ou graisses
Nous nous intéresserons plus particulièrement aux macronutriments pour l’instant car leur apport équilibré apportera tous les micronutriments nécessaires au fonctionnement de l’organisme.
Les glucides ou sucre.
La famille des glucides comprend les molécules organiques composées de carbone, hydrogène et oxygène. C'est pourquoi on les appelle aussi les hydrocarbures.
Les glucides sont les macronutriments les plus consommés dans l'alimentation occidentale car ils sont la principale source d’énergie au métabolisme et fournit l’énergie nécessaire au fonctionnement du cerveau et du système nerveux central. Mais il faut différencier les formes de glucides : les simples et les complexes.
Les Glucides simples sont les sucres rapides qui n’ont pas besoin d’être digérés et sont assimilés de suite dans la cellule. Ce sont en général les sucres dont nous avons besoin de limiter l’apport.
Les sucres complexes, ou sucres lents, eux, sont essentiels et indispensables. Ils sont cassés lors de la digestions afin d’être transformés en sucres simples. Ce sont l’amidon que nous retrouvons dans les tubercules et les céréales, le glycogène et la cellulose qui fait partie des fibres.
La fonction des glucides dans l’organisme est essentielle car ils sont le carburant dont les cellules ont besoin en premier. Lorsque l’apport de glucose est remplie, les glucides sont alors transformés en glycogène ou en graisses et sont stockés comme réserves dans le foie et les tissus adipeux. De plus, si l`apport en protéines est insuffisant, le foie convertit certains sucres en unités servant à la production de protéines.
Les sources de glucides sont les fruits, les légumes, le sucre de table, les produits céréaliers comme le pain et les féculents comme les pommes de terre, les pâtes, le riz. On les retrouve aussi dans les légumineuses, les noix et les graines.
Il est souvent conseillé de consommer entre 45 et 50 % de l’apport énergétiques globale en glucides pour le bon fonctionnement de notre organisme. Malheureusement nous en consommons beaucoup plus (jusqu’à 70 %) et de plus nous privilégions les sucres rapides aux sucres complexes. Ces excès provoquent l’embonpoint, un sentiment de satiété quasi-inexistant induits par les pics insuliniques provoqués par les aliments hyperglycémiants, des troubles digestifs et j’en passe.
Je reviendrai sur les sucres et notre empoisonnement par les sucres raffinés dans un prochain article.
Les protéines
Ce sont de loin pour moi les macronutriments les plus négligés dans notre alimentation. De part leur quantité d’abord (souvent insuffisante) et leur qualité médiocre car contenant trop de mauvais gras et trop transformées pour certaines comme le bœuf et le porc.
Ce sont les constituants de base de toutes les cellules vivantes et de tous les organismes vivants. Les protéines sont la seule source d’azote et chaque type de protéine est constitué d’un nombre déterminé d’acides aminés Il existe des protéines dites simples formées seulement d’acides aminés et des protéines complexes formées d’acides aminés et d’autres constituants. Les protéines sont les éléments de construction et de réparation de l’organisme. Elles entrent dans la composition des muscles, de la peau, des cheveux, du sang. D’autres protéines constituent des enzymes, des anticorps, des hormones. Elles jouent un rôle de défense de l’organisme, elles participent au renouvellement quotidien des cheveux, des ongles et de la peau. Elles sont indispensables chez les enfants et les adolescents pour leur croissance, ainsi évidemment que pour le développement du fœtus.
Après une blessure ou une intervention chirurgicale elles sont nécessaires à la réparation des tissus.
Les besoins en protéines sont à considérer en terme de quantité et de qualité en fonction de la nature et de la proportion des acides aminés qui les composent. On parle de qualité biologique des protéines en distinguant les protéines d’origine animale "complètes" qui contiennent tous les acides aminés essentiels des protéines d’origine végétale "incomplètes" qui ne contiennent pas tous les acides aminés essentiels. Parmi les protéines végétales, celles des céréales sont pauvres en lysine, alors que celles des légumes secs sont pauvres en méthionine et en cystine. En l’absence de protéines animales dans l’alimentation, il faut combiner des aliments végétaux complémentaires du point de vue des protéines, comme dans les régimes végétariens traditionnels (lentilles et riz en Inde, maïs et haricots au Mexique).
Les meilleures sources animales de protéines proviennent des poissons (saumon du pacifique, Thon), de la viande rouge maigre autant que possible et non transformés comme le chevreuil, le bison, les volailles, les blanc d’œufs sont une source extraordinaire d’albumine. Les œufs ont été trop longtemps ignorés à cause de leur jaune contenant du cholestérol (du bon !!!!). . Entre temps des pilules anti-cholestérol se sont vendues pour des milliards de profit. Personnellement je mange une quantité industrielle d’œufs, surtout des blancs, jusqu'à 6 par jours et je ne m’en porte pas plus mal.
Une source consistante de protéines vous évitera les coups de barre de 11h00 et de 15h00 et les rages de sucres.
Les apports conseillés en protéines doivent couvrir de 25 % à 30 % des besoins énergétiques, ce qui pour une personne sédentaire de 60 kg représente environ 60 g de protéines, soit 1g par kilos. Pour les sportifs, qui s’entraînent plus de 3 fois semaines et de manière plus intense, on peut aller jusqu’à 2g par kilos.
Les lipides.
Les lipides ou graisses ont eut très mauvaise presse pendant longtemps surtout parce qu’on ne comprenait pas leur rôle dans l’organisme. Le plus bel exemple est ce qui s’est passé les 20 dernières années aux Etats-Unis. Ils ont cru pendant longtemps qu’en supprimant tous les gras de l’alimentation, les gens pourraient maigrir. On voyait du Low Fat partout. Pas moyen de trouver un yaourt 10% MG. Pourtant 20 ans plus tard, c’est quasiment les ¾ de la population qui est en surpoids ou obèse.
Les lipides ou graisses ont un rôle essentiel dans l’organisme au niveau calorifique et hormonal. Il suffit de différencier les bons des mauvais gras.
Il existe trois types d’acides gras :
- Acide gras saturé
- Acide gras mono insaturé
- Acide gras poly insaturé
Une autre répartition est faite entre les acides gras :
- Acide gras essentiel
- Acide gras non essentiel
Les acides gras essentiels sont ceux que le corps ne peut pas synthétiser. Ils doivent donc absolument être apportés par l’alimentation. (Poisson, huiles végétales).
Les acides gras saturés sont appelés «mauvaise graisse », car ils augmentent le taux de mauvais cholestérol, ce qui peut entraîner des dépôts de cholestérol dans les artères.
Il est conseillé de consommer l’équivalent de 3 cuillères d’acides gras insaturés par jour, tout en réduisant l’apport en acides gras saturés (graisses animales).
Les aliments riches en lipides sont légions, il est donc très facile de consommer ces graisses en excès. En plus des lipides présents directement dans les aliments (la graisse contenue dans la viande, les œufs, le poisson, les produits laitiers, ...), nous ajoutons une dose non négligeable de lipides dans notre alimentation, pour la cuisson des aliments (beurre et huiles) ou leur assaisonnement (huiles).
Dans l’alimentation il y a donc un double apport de lipides :
les graisses cachées
les graisses apportées directement
A noter que les plats préparés et autres produits industriels sont souvent très riches en graisses cachées, car les lipides sont vecteurs de saveur : ils permettent d’améliorer / augmenter le goût des plats.
Une seule règle simple : If men do it, don’t eat it.
Tous les plats pré cuisinés sont trop souvent trop riches en glucides, en sodium et en gras saturés pour des raisons de saveurs et parce que ces nutriments ne coûte rien à produire contrairement aux épices. Un exemple simple : pour une portion de lasagne à réchauffer (350g), 24% sont des gras saturés (mauvais) et l’apport en sodium est de 820mg alors que notre apport quotidien conseillé est de 1g. En un seul repas nous venons d’absorber plus de 80 % de notre apport quotidien en sodium. Bonjour la pression sanguin.
Chose importante à noter. Les lipides à l’instar des glucides simples sont stockés dans l’organisme quand les besoins de celui-ci sont remplis. Comme les glycogène, les lipides sont stockés ans les tissus adipeux. C’est la raison principale de nos poignets d’amour et de la disgracieuse culotte de cheval.
En revanche certaines lipides ne peuvent synthétisés par les cellules graisseuses comme les oméga 3 et 6 que l’on retrouve dans les poissons gras (saumon, truite, thon) et les huiles végétales (olives, colza, lin)
Les lipides devraient représenter 25% à 30% de l’apport calorique total sur une journée.
En résumé, notre apport quotidien en macronutriment (Glucides, protéines, glucides) serait de 40-30-30 ce qui serait un bon équilibre alimentaire. Pour les personnes suivant une diète amaigrissante comme les diètes protéinés, ce rapport pourrait être PROVISOIREMENT de 20-60-20.
Et puis il ne faut pas oublier que se nourrir ne peut pas se résumer en un calcul d’apport calorifique. Si on veut juste maintenir une alimentation équilibrée on doit retrouver tous les macronutriments nécessaires mais aussi avoir du plaisir. Se nourrir c’est voir la vie en couleur, (légumes), c’est goûter (épices), c’est la variété, c’est le plaisir de passer du temps avec les gens qu’on aime et savourer leur présence en plus de ce merveilleux steak de saumon au chèvre chaud Et c’est aussi tricher de temps en temps pour stimuler notre organisme avec des madeleines faîtes maisons et se jeter dessus avec un verre de lait à la fraise. Miam….
Bon appêtit.
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
Après plusieurs recherches et de nombreuses lectures et bien sûr, expérimentations culinaires, je vous livre, ici, ma vision d’une nutrition saine et qui ne correspondra peut être pas avec les recommandations du guide alimentaire Canadien. (Qui me sert à caler ma commode….)
Mais d’abords voici quelques définitions de bases.
Toute alimentation saine et équilibrée c'est-à-dire pour monsieur et madame tout le monde, (nous parlerons plus loin des diètes amaigrissantes et de l’alimentation des sportifs) doit comprendre un mélange de diverses substances essentielles au fonctionnement de l’organisme : les macro et les micronutriments.
Les micronutriments sont toutes les vitamines et sels minéraux essentiels à l’équilibre homéostatique de notre organisme. Ce sont ceux qui permettent une bonne chimie, et tous les processus de transformations dans notre organisme comme la digestion des macronutriments par exemple.
Les macro nutriments sont :
Les glucides ou sucres rapide ou lents
Les protéines
Les lipides ou graisses
Nous nous intéresserons plus particulièrement aux macronutriments pour l’instant car leur apport équilibré apportera tous les micronutriments nécessaires au fonctionnement de l’organisme.
Les glucides ou sucre.
La famille des glucides comprend les molécules organiques composées de carbone, hydrogène et oxygène. C'est pourquoi on les appelle aussi les hydrocarbures.
Les glucides sont les macronutriments les plus consommés dans l'alimentation occidentale car ils sont la principale source d’énergie au métabolisme et fournit l’énergie nécessaire au fonctionnement du cerveau et du système nerveux central. Mais il faut différencier les formes de glucides : les simples et les complexes.
Les Glucides simples sont les sucres rapides qui n’ont pas besoin d’être digérés et sont assimilés de suite dans la cellule. Ce sont en général les sucres dont nous avons besoin de limiter l’apport.
Les sucres complexes, ou sucres lents, eux, sont essentiels et indispensables. Ils sont cassés lors de la digestions afin d’être transformés en sucres simples. Ce sont l’amidon que nous retrouvons dans les tubercules et les céréales, le glycogène et la cellulose qui fait partie des fibres.
La fonction des glucides dans l’organisme est essentielle car ils sont le carburant dont les cellules ont besoin en premier. Lorsque l’apport de glucose est remplie, les glucides sont alors transformés en glycogène ou en graisses et sont stockés comme réserves dans le foie et les tissus adipeux. De plus, si l`apport en protéines est insuffisant, le foie convertit certains sucres en unités servant à la production de protéines.
Les sources de glucides sont les fruits, les légumes, le sucre de table, les produits céréaliers comme le pain et les féculents comme les pommes de terre, les pâtes, le riz. On les retrouve aussi dans les légumineuses, les noix et les graines.
Il est souvent conseillé de consommer entre 45 et 50 % de l’apport énergétiques globale en glucides pour le bon fonctionnement de notre organisme. Malheureusement nous en consommons beaucoup plus (jusqu’à 70 %) et de plus nous privilégions les sucres rapides aux sucres complexes. Ces excès provoquent l’embonpoint, un sentiment de satiété quasi-inexistant induits par les pics insuliniques provoqués par les aliments hyperglycémiants, des troubles digestifs et j’en passe.
Je reviendrai sur les sucres et notre empoisonnement par les sucres raffinés dans un prochain article.
Les protéines
Ce sont de loin pour moi les macronutriments les plus négligés dans notre alimentation. De part leur quantité d’abord (souvent insuffisante) et leur qualité médiocre car contenant trop de mauvais gras et trop transformées pour certaines comme le bœuf et le porc.
Ce sont les constituants de base de toutes les cellules vivantes et de tous les organismes vivants. Les protéines sont la seule source d’azote et chaque type de protéine est constitué d’un nombre déterminé d’acides aminés Il existe des protéines dites simples formées seulement d’acides aminés et des protéines complexes formées d’acides aminés et d’autres constituants. Les protéines sont les éléments de construction et de réparation de l’organisme. Elles entrent dans la composition des muscles, de la peau, des cheveux, du sang. D’autres protéines constituent des enzymes, des anticorps, des hormones. Elles jouent un rôle de défense de l’organisme, elles participent au renouvellement quotidien des cheveux, des ongles et de la peau. Elles sont indispensables chez les enfants et les adolescents pour leur croissance, ainsi évidemment que pour le développement du fœtus.
Après une blessure ou une intervention chirurgicale elles sont nécessaires à la réparation des tissus.
Les besoins en protéines sont à considérer en terme de quantité et de qualité en fonction de la nature et de la proportion des acides aminés qui les composent. On parle de qualité biologique des protéines en distinguant les protéines d’origine animale "complètes" qui contiennent tous les acides aminés essentiels des protéines d’origine végétale "incomplètes" qui ne contiennent pas tous les acides aminés essentiels. Parmi les protéines végétales, celles des céréales sont pauvres en lysine, alors que celles des légumes secs sont pauvres en méthionine et en cystine. En l’absence de protéines animales dans l’alimentation, il faut combiner des aliments végétaux complémentaires du point de vue des protéines, comme dans les régimes végétariens traditionnels (lentilles et riz en Inde, maïs et haricots au Mexique).
Les meilleures sources animales de protéines proviennent des poissons (saumon du pacifique, Thon), de la viande rouge maigre autant que possible et non transformés comme le chevreuil, le bison, les volailles, les blanc d’œufs sont une source extraordinaire d’albumine. Les œufs ont été trop longtemps ignorés à cause de leur jaune contenant du cholestérol (du bon !!!!). . Entre temps des pilules anti-cholestérol se sont vendues pour des milliards de profit. Personnellement je mange une quantité industrielle d’œufs, surtout des blancs, jusqu'à 6 par jours et je ne m’en porte pas plus mal.
Une source consistante de protéines vous évitera les coups de barre de 11h00 et de 15h00 et les rages de sucres.
Les apports conseillés en protéines doivent couvrir de 25 % à 30 % des besoins énergétiques, ce qui pour une personne sédentaire de 60 kg représente environ 60 g de protéines, soit 1g par kilos. Pour les sportifs, qui s’entraînent plus de 3 fois semaines et de manière plus intense, on peut aller jusqu’à 2g par kilos.
Les lipides.
Les lipides ou graisses ont eut très mauvaise presse pendant longtemps surtout parce qu’on ne comprenait pas leur rôle dans l’organisme. Le plus bel exemple est ce qui s’est passé les 20 dernières années aux Etats-Unis. Ils ont cru pendant longtemps qu’en supprimant tous les gras de l’alimentation, les gens pourraient maigrir. On voyait du Low Fat partout. Pas moyen de trouver un yaourt 10% MG. Pourtant 20 ans plus tard, c’est quasiment les ¾ de la population qui est en surpoids ou obèse.
Les lipides ou graisses ont un rôle essentiel dans l’organisme au niveau calorifique et hormonal. Il suffit de différencier les bons des mauvais gras.
Il existe trois types d’acides gras :
- Acide gras saturé
- Acide gras mono insaturé
- Acide gras poly insaturé
Une autre répartition est faite entre les acides gras :
- Acide gras essentiel
- Acide gras non essentiel
Les acides gras essentiels sont ceux que le corps ne peut pas synthétiser. Ils doivent donc absolument être apportés par l’alimentation. (Poisson, huiles végétales).
Les acides gras saturés sont appelés «mauvaise graisse », car ils augmentent le taux de mauvais cholestérol, ce qui peut entraîner des dépôts de cholestérol dans les artères.
Il est conseillé de consommer l’équivalent de 3 cuillères d’acides gras insaturés par jour, tout en réduisant l’apport en acides gras saturés (graisses animales).
Les aliments riches en lipides sont légions, il est donc très facile de consommer ces graisses en excès. En plus des lipides présents directement dans les aliments (la graisse contenue dans la viande, les œufs, le poisson, les produits laitiers, ...), nous ajoutons une dose non négligeable de lipides dans notre alimentation, pour la cuisson des aliments (beurre et huiles) ou leur assaisonnement (huiles).
Dans l’alimentation il y a donc un double apport de lipides :
les graisses cachées
les graisses apportées directement
A noter que les plats préparés et autres produits industriels sont souvent très riches en graisses cachées, car les lipides sont vecteurs de saveur : ils permettent d’améliorer / augmenter le goût des plats.
Une seule règle simple : If men do it, don’t eat it.
Tous les plats pré cuisinés sont trop souvent trop riches en glucides, en sodium et en gras saturés pour des raisons de saveurs et parce que ces nutriments ne coûte rien à produire contrairement aux épices. Un exemple simple : pour une portion de lasagne à réchauffer (350g), 24% sont des gras saturés (mauvais) et l’apport en sodium est de 820mg alors que notre apport quotidien conseillé est de 1g. En un seul repas nous venons d’absorber plus de 80 % de notre apport quotidien en sodium. Bonjour la pression sanguin.
Chose importante à noter. Les lipides à l’instar des glucides simples sont stockés dans l’organisme quand les besoins de celui-ci sont remplis. Comme les glycogène, les lipides sont stockés ans les tissus adipeux. C’est la raison principale de nos poignets d’amour et de la disgracieuse culotte de cheval.
En revanche certaines lipides ne peuvent synthétisés par les cellules graisseuses comme les oméga 3 et 6 que l’on retrouve dans les poissons gras (saumon, truite, thon) et les huiles végétales (olives, colza, lin)
Les lipides devraient représenter 25% à 30% de l’apport calorique total sur une journée.
En résumé, notre apport quotidien en macronutriment (Glucides, protéines, glucides) serait de 40-30-30 ce qui serait un bon équilibre alimentaire. Pour les personnes suivant une diète amaigrissante comme les diètes protéinés, ce rapport pourrait être PROVISOIREMENT de 20-60-20.
Et puis il ne faut pas oublier que se nourrir ne peut pas se résumer en un calcul d’apport calorifique. Si on veut juste maintenir une alimentation équilibrée on doit retrouver tous les macronutriments nécessaires mais aussi avoir du plaisir. Se nourrir c’est voir la vie en couleur, (légumes), c’est goûter (épices), c’est la variété, c’est le plaisir de passer du temps avec les gens qu’on aime et savourer leur présence en plus de ce merveilleux steak de saumon au chèvre chaud Et c’est aussi tricher de temps en temps pour stimuler notre organisme avec des madeleines faîtes maisons et se jeter dessus avec un verre de lait à la fraise. Miam….
Bon appêtit.
Stéphane Dreux
Praticien et Formateur Gesret
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
mardi 16 septembre 2008
Entrainement fonctionnel de base.
Je remarque très souvent lors du bilan clinique avec mes clients qu’à la question :
‘’ Que faîtes vous comme entraînement ‘’
La réponse reste indubitablement la même quand elle est positive:
‘’Je vais au gym, je fais du cardio et je soulève des poids’’
Finalement même si l’intention reste des meilleures, on en vient toujours à vouloir faire un entraînement analytique, c'est-à-dire que notre pratique se base sur la décomposition du corps en segments (Biceps, pectoraux, Quadriceps, etc., etc.) ainsi que sur l’augmentation de notre capacité cardio-vasculaire. De plus, par manque d’informations et de connaissances anatomiques, la personne se retrouve à effectuer des mouvements de musculation sur des muscles d’abord à court bras de levier comme les biceps et les pectoraux (surtout les hommes !!) parce qu’ils sont faciles à travailler mais elle occulte toute la musculature profonde de soutien et la musculature superficielle qui sert aux mouvements de base :
Marcher, fléchir, soulever, soutenir, sauter, enjamber, se baisser etc.
A quel moment de la journée allez vous soulever une charge de 100 kg calé dans votre fauteuil ? La pratique analytique renforce une musculature isolée et n’est pas forcement adapté à notre mode de vie sédentaire. Il l’est en revanche dans les cas de rééducation suite à des accidents ou des blessures.
Quel est donc l’intérêt d’avoir des biceps comme des ballons, des pectoraux gros comme des cuisses mais avec une belle bedaine de bière, des poignées d’amour ressemblant plus à des pneus de camions surtout quand notre activité principale est de rester assis(e) devant un ordinateur, le dos courbé, les jambes croisées ? Sans parler que cet entraînement ne vous aidera en rien à maintenir une posture naturelle puisque vos muscles centraux (abdos, fessiers, ischios) sont comme les Dieu : tout le monde en parle mais personne ne les a jamais vu !!
Pourtant depuis quelques années émerge du monde de la préparation physique une approche très différente de l’entraînement analytique :
L’entraînement fonctionnel. Celui consiste en un seul concept :
Train the mouvement, not the muscle. Entraîner le mouvement et pas le muscle.
Le but de cette approche est de s’exercer physiquement à mieux fonctionner dans les mouvements de tous les jours. De plus chaque entraînement est spécifiquement adapté à chaque personne dans un seul et unique but : être plus fonctionnel.
En effet l’entraînent fonctionnel repose sur le fait de pouvoir faire travailler des chaînes musculaire en mouvement plutôt que sur un segment seul. Il permet l’amélioration de la posture par le travail important des muscles centraux abdominaux, bas du dos, fessiers et ischio-jambiers en favorisant un meilleur soutien de la colonne vertébrale et en prévenant les risques de blessures musculo-squelettiques par les gestes répétitifs.
Les bienfaits des cette forme de pratique sont multiples. L’entraînement fonctionnel se fait toujours le corps debout et dans un mouvement global ce qui oblige la structure interne à se renforcer de manière naturelle. Les mouvements de la vie de tous les jours sont plus harmonieux, moins forçant et le fait de travailler en mouvement renforce naturellement notre capacité cardio-vasculaire. Nous gagnons en force et puissance de manière globale sur toutes les chaînes musculaires. En effet la musculation analytique du biceps ne renforcera que la flexion de l’avant bras ce qui peut être fort utile pour faire un bras d’honneur à un automobiliste enragé mais aurez vous les cuisses suffisamment fortes pour courir afin d’éviter de prendre une volée ? L’entraînement fonctionnel du haut du corps par les pushs-up combinés avec des tractions en supination augmenteront votre force pure à la fois sur la chaîne antérieure et postérieure des bras et avant bras en plus de vous procurer la capacité de vous soulever. Ce qui peut être utile pour escalader un mur afin de toujours échapper au camionneur alcoolique vous poursuivant de sa bedaine molle.
Sérieusement, l’entraînement fonctionnel reste d’une efficacité bien supérieure à l’entraînement analytique sur du moyen terme même si les débuts peuvent être plus difficiles.
Comment commencer ?
Comme dans toute pratique d’exercices physiques, la première question à se poser est :
Quel est mon objectif ? Sans une réponse claire à cette question, le découragement vous gagnera rapidement et la discipline de votre pratique fondra comme neige au soleil.
Posez vous la question de ce pourquoi vous voulez faire de l’exercice. Si c’est parce que on vous dit de le faire, vous aurez très peu de motivation. En revanche si c’est pour ne plus avoir mal au dos ou pour juste pouvoir enfin toucher vos orteils sans appeler l’ambulance après vos 2 hernies discales et une crise de sciatique, les raisons seront suffisantes (j’espère) pour vous motiver à pratiquer au moins 3 fois par semaines.
De plus que cherchez vous à renforcer ? Votre musculature profonde pour un meilleur soutien ou votre égo grâce à vos biceps gonflés à l’hélium.
Bref si votre santé vous incombe plus que votre silhouette et si vous souhaitez vous tenir debout comme un être humain plus que comme un gorille, l’entraînement fonctionnel est pour vous.
La stratégie pourrait être la suivante :
Faire évaluer votre posture et vos différentes fonctionnalités par un professionnel qui établira un programme simple et spécifique à vos besoins.
Sinon, si vous vous sentez l’âme d’un guerrier autonome voici un programme de base afin de commencer votre remise en forme.
La règle d’or
En douceur et respectez vos limites.
1500 m de vélo stationnaire à un rythme de 50 % de sa charge maximum.
Ou bien
500 de rameur
40 squats au poids du corps
30 set up
20 push-up
10 tractions
Le tout sans repos entre chaque exercices.
Si votre cœur à l’instar de vos cuisses n’a pas explosé, vous recommencerez ce circuit jusqu’à 3 fois ce qui devrait vous occuper quelques mois. Dîtes vous que les pros du fonctionnel font cet enchaînement en moins de 5 minutes. Mais souvenez vous toujours que la patience et la persévérance sont de mise afin d’éviter les blessures et l’écourantite aigue.
Explication de chaque mouvement
Squats au poids du corps.
Debout, pieds écartés largeur des épaules en ouverture de 30 degrés. Descendre les fesses le plus bas possible en gardant le dos droit et en sortant légèrement les fesses. Regarder toujours devant soi.
Revenir à la position de départ.
Set up
Allongé sur le dos sur un matelas de yoga, les pieds au sol libres.
Placer les mains derrière la tête pour la soutenir et fléchir le tronc en contractant les abdominaux. Décoller les omoplates du sol et ne pas dépasser une inclinaison de plus de 30 degrés. Au delà, ce ne sont plus les abdominaux qui travaillent mais les fléchisseurs de hanche.
Pompes ou push-up
Pour les gars : Allongé en positions de pompes, pieds au sol, le dos droit, les abdos contractés, bras tendus. Descendre jusqu’au sol et remonter.
Pour les filles : Commencer en mettant les genoux au sol puis prendre la même position que les gars par la suite
Tractions sur barre fixe.
Pour ceux qui ne sont pas encore assez forts, (pour ainsi dire tout le monde), monter sur la barre fixe et maintenir la position le plus longtemps possible.
La progression sera la suivante :
Bras complètement fléchis
Bras dépliés à 90 degrés
Bras dépliés à 120 degrés
Bonne pratique.
Pour toutes évaluation ou alignement par la méthode Gesret :
Stéphane Dreux
222 Henri Bourassa Est
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
‘’ Que faîtes vous comme entraînement ‘’
La réponse reste indubitablement la même quand elle est positive:
‘’Je vais au gym, je fais du cardio et je soulève des poids’’
Finalement même si l’intention reste des meilleures, on en vient toujours à vouloir faire un entraînement analytique, c'est-à-dire que notre pratique se base sur la décomposition du corps en segments (Biceps, pectoraux, Quadriceps, etc., etc.) ainsi que sur l’augmentation de notre capacité cardio-vasculaire. De plus, par manque d’informations et de connaissances anatomiques, la personne se retrouve à effectuer des mouvements de musculation sur des muscles d’abord à court bras de levier comme les biceps et les pectoraux (surtout les hommes !!) parce qu’ils sont faciles à travailler mais elle occulte toute la musculature profonde de soutien et la musculature superficielle qui sert aux mouvements de base :
Marcher, fléchir, soulever, soutenir, sauter, enjamber, se baisser etc.
A quel moment de la journée allez vous soulever une charge de 100 kg calé dans votre fauteuil ? La pratique analytique renforce une musculature isolée et n’est pas forcement adapté à notre mode de vie sédentaire. Il l’est en revanche dans les cas de rééducation suite à des accidents ou des blessures.
Quel est donc l’intérêt d’avoir des biceps comme des ballons, des pectoraux gros comme des cuisses mais avec une belle bedaine de bière, des poignées d’amour ressemblant plus à des pneus de camions surtout quand notre activité principale est de rester assis(e) devant un ordinateur, le dos courbé, les jambes croisées ? Sans parler que cet entraînement ne vous aidera en rien à maintenir une posture naturelle puisque vos muscles centraux (abdos, fessiers, ischios) sont comme les Dieu : tout le monde en parle mais personne ne les a jamais vu !!
Pourtant depuis quelques années émerge du monde de la préparation physique une approche très différente de l’entraînement analytique :
L’entraînement fonctionnel. Celui consiste en un seul concept :
Train the mouvement, not the muscle. Entraîner le mouvement et pas le muscle.
Le but de cette approche est de s’exercer physiquement à mieux fonctionner dans les mouvements de tous les jours. De plus chaque entraînement est spécifiquement adapté à chaque personne dans un seul et unique but : être plus fonctionnel.
En effet l’entraînent fonctionnel repose sur le fait de pouvoir faire travailler des chaînes musculaire en mouvement plutôt que sur un segment seul. Il permet l’amélioration de la posture par le travail important des muscles centraux abdominaux, bas du dos, fessiers et ischio-jambiers en favorisant un meilleur soutien de la colonne vertébrale et en prévenant les risques de blessures musculo-squelettiques par les gestes répétitifs.
Les bienfaits des cette forme de pratique sont multiples. L’entraînement fonctionnel se fait toujours le corps debout et dans un mouvement global ce qui oblige la structure interne à se renforcer de manière naturelle. Les mouvements de la vie de tous les jours sont plus harmonieux, moins forçant et le fait de travailler en mouvement renforce naturellement notre capacité cardio-vasculaire. Nous gagnons en force et puissance de manière globale sur toutes les chaînes musculaires. En effet la musculation analytique du biceps ne renforcera que la flexion de l’avant bras ce qui peut être fort utile pour faire un bras d’honneur à un automobiliste enragé mais aurez vous les cuisses suffisamment fortes pour courir afin d’éviter de prendre une volée ? L’entraînement fonctionnel du haut du corps par les pushs-up combinés avec des tractions en supination augmenteront votre force pure à la fois sur la chaîne antérieure et postérieure des bras et avant bras en plus de vous procurer la capacité de vous soulever. Ce qui peut être utile pour escalader un mur afin de toujours échapper au camionneur alcoolique vous poursuivant de sa bedaine molle.
Sérieusement, l’entraînement fonctionnel reste d’une efficacité bien supérieure à l’entraînement analytique sur du moyen terme même si les débuts peuvent être plus difficiles.
Comment commencer ?
Comme dans toute pratique d’exercices physiques, la première question à se poser est :
Quel est mon objectif ? Sans une réponse claire à cette question, le découragement vous gagnera rapidement et la discipline de votre pratique fondra comme neige au soleil.
Posez vous la question de ce pourquoi vous voulez faire de l’exercice. Si c’est parce que on vous dit de le faire, vous aurez très peu de motivation. En revanche si c’est pour ne plus avoir mal au dos ou pour juste pouvoir enfin toucher vos orteils sans appeler l’ambulance après vos 2 hernies discales et une crise de sciatique, les raisons seront suffisantes (j’espère) pour vous motiver à pratiquer au moins 3 fois par semaines.
De plus que cherchez vous à renforcer ? Votre musculature profonde pour un meilleur soutien ou votre égo grâce à vos biceps gonflés à l’hélium.
Bref si votre santé vous incombe plus que votre silhouette et si vous souhaitez vous tenir debout comme un être humain plus que comme un gorille, l’entraînement fonctionnel est pour vous.
La stratégie pourrait être la suivante :
Faire évaluer votre posture et vos différentes fonctionnalités par un professionnel qui établira un programme simple et spécifique à vos besoins.
Sinon, si vous vous sentez l’âme d’un guerrier autonome voici un programme de base afin de commencer votre remise en forme.
La règle d’or
En douceur et respectez vos limites.
1500 m de vélo stationnaire à un rythme de 50 % de sa charge maximum.
Ou bien
500 de rameur
40 squats au poids du corps
30 set up
20 push-up
10 tractions
Le tout sans repos entre chaque exercices.
Si votre cœur à l’instar de vos cuisses n’a pas explosé, vous recommencerez ce circuit jusqu’à 3 fois ce qui devrait vous occuper quelques mois. Dîtes vous que les pros du fonctionnel font cet enchaînement en moins de 5 minutes. Mais souvenez vous toujours que la patience et la persévérance sont de mise afin d’éviter les blessures et l’écourantite aigue.
Explication de chaque mouvement
Squats au poids du corps.
Debout, pieds écartés largeur des épaules en ouverture de 30 degrés. Descendre les fesses le plus bas possible en gardant le dos droit et en sortant légèrement les fesses. Regarder toujours devant soi.
Revenir à la position de départ.
Set up
Allongé sur le dos sur un matelas de yoga, les pieds au sol libres.
Placer les mains derrière la tête pour la soutenir et fléchir le tronc en contractant les abdominaux. Décoller les omoplates du sol et ne pas dépasser une inclinaison de plus de 30 degrés. Au delà, ce ne sont plus les abdominaux qui travaillent mais les fléchisseurs de hanche.
Pompes ou push-up
Pour les gars : Allongé en positions de pompes, pieds au sol, le dos droit, les abdos contractés, bras tendus. Descendre jusqu’au sol et remonter.
Pour les filles : Commencer en mettant les genoux au sol puis prendre la même position que les gars par la suite
Tractions sur barre fixe.
Pour ceux qui ne sont pas encore assez forts, (pour ainsi dire tout le monde), monter sur la barre fixe et maintenir la position le plus longtemps possible.
La progression sera la suivante :
Bras complètement fléchis
Bras dépliés à 90 degrés
Bras dépliés à 120 degrés
Bonne pratique.
Pour toutes évaluation ou alignement par la méthode Gesret :
Stéphane Dreux
222 Henri Bourassa Est
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
samedi 26 juillet 2008
Hygiène posturale
Voici un résumé des postures NATURELLES à adopter afin de respecter son équilibre structurelle. Pour tous ceux qui sont déjà venus me consulter, ce sera un rappel fort utile.
Les postures dans le repos sont à surveiller étroitement :
Les postures dans le repos sont à surveiller étroitement :
- debout sur les deux pieds, pas en position d'appui sur une seule jambe, si c'est le cas, votre bassin n'est pas de niveau, il s'est déréglé, ou le praticien a oublié de vous caler une petite jambe courte (cela peut être un seul millimètre et provoquer ce réflexe d'appui) ;
- assis sur les deux ischions au bord d'une chaise (os situés sous les fesses que vous sentez quand vous êtes assis sur un banc ou tabouret dur), surtout pas sur les cuisses en vous appuyant au fond de celle ci ; les deux pieds bien posés au sol, faites une bascule légère du bassin vers l'avant (comme pour sortir le ventre) pour placer vos lombaires dans leur lordose naturelle (comme quand vous êtes debout), relâchez vos épaules et vous constaterez que vous êtes assis parfaitement et sans aucune contracture ni effort musculaire pour conserver cette position ; position idéale de travail devant un bureau, en informatique par exemple ;
- couché sur le côté ou pour ceux qui le supportent, sur le dos ; JAMAIS sur le ventre. L'oreiller doit avoir une épaisseur suffisante pour vous placer la tête dans l'axe du corps quand vous êtes sur le côté ; elle ne doit ni pencher vers le matelas, ni être inclinée vers le haut. La position idéale est la position dite "de sécurité" que tous les secouristes connaissent bien ;
- le matelas TRÈS important : un matelas de plus de 5 ans a des empreintes irréversibles de votre corps. Comme on se couche TOUJOURS dans le sens de ses lésions (si une cervicale ne peut pas tourner vers la droite sans être "désagréablement perçue, vous vous coucherez toujours tête tournée vers la gauche pour "être" bien) le matelas prendra votre empreinte dans laquelle vous vous sentirez installé confortablement pour vous endormir ; Avec les matelas modernes, les empreintes sont irréversibles.
Conseil : il ne faut jamais tourner un matelas par le côté, mais tête/pied pour éviter d'installer votre conjoint dans votre "empreinte", et vice-versa. Avec la main, tâtez votre matelas pour détecter cette empreinte plus molle que le reste, vous serez surpris. Sachez qu'une personne passe bien plus du temps de sa vie dans son lit que dans sa voiture et que le matelas n'est pas considéré comme une priorité ...
Conseil : il ne faut jamais tourner un matelas par le côté, mais tête/pied pour éviter d'installer votre conjoint dans votre "empreinte", et vice-versa. Avec la main, tâtez votre matelas pour détecter cette empreinte plus molle que le reste, vous serez surpris. Sachez qu'une personne passe bien plus du temps de sa vie dans son lit que dans sa voiture et que le matelas n'est pas considéré comme une priorité ...
Concernant vos enfants
- à l'école : dans le temps, un enfant de 15 ans mesurait 1m65, aujourd'hui, j'ai vu des enfants de 13 ans faisant 1m70 et plus ... le seul problème est que le mobilier scolaire n'a pas vraiment évolué puisque cela fait partie de "l'administration". Alors les enfants ne sont pas assis correctement, ils s'installent comme ils peuvent sur des éléments trop petits pour leur taille et sont en position "tordue". Chez eux, ils se vautrent sur le canapé, dos totalement arrondi et cela entraîne une hyper cyphose dorsale et détruit la lordose lombaire ; leur thorax ne peut pas se développer dans cette position repliée, il est donc plat au lieu d'être bombé, et ils ne savent plus respirer qu'avec leur diaphragme du fait qu'il est impossible de gonfler ses poumons par une respiration thoracique dans cette position d'effondrement sur soi. Leur capacité respiratoire (en litres) est très faible ! TOUTES ces positions d'effondrement sont à proscrire car elles provoquent une postériorisation fixée du gril costal supérieur (origine des problèmes d'asthme et allergies, etc.)
- le cartable ou "le poids des mots et le choc sur la structure d'un enfant" !
. Il est loin se bon temps où on se musclait les jambes en effectuant plusieurs kilomètres à pied pour se rendre à l'école. Aujourd'hui, dans une école qui reçoit 400 élèves, arrivent le matin, midi et soir ... 350 voitures individuelles prenant chacun un enfant. Ceux qui ne viennent pas en voiture, c'est simplement parce qu'ils ont moins de 200 mètres à faire AVEC UN CARTABLE sur le dos pesant parfois jusqu'au tiers de leur poids corporel ! Si vous ne pouvez pas diminuer le poids administratif des sacs d’école, achetez des sacs style sac de randonnés avec IMPÉRATIVEMENT une ceinture lombaire. Contrairement à son nom, un sac à dos se porte pour 80 % de sa masse sur les os du bassin et non sur les sangles d’épaules.
. Il est loin se bon temps où on se musclait les jambes en effectuant plusieurs kilomètres à pied pour se rendre à l'école. Aujourd'hui, dans une école qui reçoit 400 élèves, arrivent le matin, midi et soir ... 350 voitures individuelles prenant chacun un enfant. Ceux qui ne viennent pas en voiture, c'est simplement parce qu'ils ont moins de 200 mètres à faire AVEC UN CARTABLE sur le dos pesant parfois jusqu'au tiers de leur poids corporel ! Si vous ne pouvez pas diminuer le poids administratif des sacs d’école, achetez des sacs style sac de randonnés avec IMPÉRATIVEMENT une ceinture lombaire. Contrairement à son nom, un sac à dos se porte pour 80 % de sa masse sur les os du bassin et non sur les sangles d’épaules.
- les chaussures, autre sujet important !
Il semblerait que depuis quelques temps, les fabricants de chaussons de sport aient enfin pris conscience que les semelles moulées de leurs produits présentaient plus de désagréments que d'avantages ; cela restera quand même des bouts de chiffons et de mousse (inflammable, car il n'y a aucune législation concernant les baskets) qui sont fabriqués en très grandes séries dans les pays les plus pauvres de la planète ; les coûts sont minimes et les bénéfices plus que fabuleux. Le phénomène publicitaire, vicieux au possible, d'identification à des "modèles" sportifs ou non, fait que s'est créé un phénomène de groupes s'identifiant par la marque des baskets, la façon de les lacer, surtout de ne pas les lacer, etc.
Il semblerait que depuis quelques temps, les fabricants de chaussons de sport aient enfin pris conscience que les semelles moulées de leurs produits présentaient plus de désagréments que d'avantages ; cela restera quand même des bouts de chiffons et de mousse (inflammable, car il n'y a aucune législation concernant les baskets) qui sont fabriqués en très grandes séries dans les pays les plus pauvres de la planète ; les coûts sont minimes et les bénéfices plus que fabuleux. Le phénomène publicitaire, vicieux au possible, d'identification à des "modèles" sportifs ou non, fait que s'est créé un phénomène de groupes s'identifiant par la marque des baskets, la façon de les lacer, surtout de ne pas les lacer, etc.
Il serait de loin préférable d'équiper les enfants avec de VRAIES chaussures ayant une base de cuir, au lieu de cette base de mousse.
Je m'explique en quelques mots :
- un corps qui se construit sur des appuis "mous" (propriocetivité) sera gras et mou
- un corps qui se construit sur des appuis fermes, sera mince et musclé.
Mettez des chaussures au pieds de vos enfants, pas des bouts de chiffons qui pourrissent en deux ou trois mois d'usage, c'est un conseil qui hélas, ne sera jamais écouté car ces ’’chers’’ petits, refuseront catégoriquement de s'exclure" des clans dans lesquels ils se sentent très forts (surtout pour ne plus respecter les enseignants).
- En voiture : assurez vous que vos jeunes enfants ne s’endorment jamais la tête pendante. Cela aura pour effet de créer d’énormes tensions au niveau de la première cervicale responsable du spasme pharyngé. Mettez soit une serviette roulée en boudin sous son menton de telle sorte que la tête soit soutenue lors de voyages en voiture. De même lors de voyage en train ou en avion.
- le travail : pour les personnes qui effectuent des travaux de force (en cela j'inclus les infirmières qui doivent soulever des personnes très lourdes et qui se bousillent totalement le dos alors que la législation du travail interdit à une femme de soulever plus de 20 kg sans appareil de levage), il sera difficile de ne pas se déstructurer ! Il leur faudra donc penser leurs gestes pour éviter tout mouvement en torsion et tenter de toujours être parfaitement dans ses axes avant de soulever une charge. Les postures dans les bureaux, surtout assis devant un ordinateur ; les postures sur les chaînes de travail, etc.
- le sport : le mouvement c'est la vie !
Mais faut il encore qu'il reste dans une mesure acceptable pour ne pas devenir une cause de déstructuration !
Se muscler, lever de la fonte, c'est peut être bien mais pas sur un corps déstructuré où cette musculation devenue importante, figera la personne dans ses problèmes et nous ne pourrons plus la corriger. Eviter les sports violents chez les enfants, ceux qui occasionnent des chutes brutales, sans pour autant leur interdire les sports d'équipe parfaitement adaptés à leur force et morphologie. Un conseil, concernant vos enfants qui sont vautrés dans vos canapés et qui se gorgent de "mangas" pendant des journées entières, mettez les dehors au grands air, dans un sport d'équipe qui leur fera le plus grand bien sur tous les plans.
Pour résumer, il faut commencer par écouter son corps pour faire attention aux messages qu'il nous envoie en permanence et faire en sorte qu'ils soient agréables. Quand on est bien assis, bien debout, bien couché, c'est l'absence de tensions désagréables qui renseigne sur la bonne position (bien entendu, à condition d'avoir été restructuré).
Ecouter son corps est le maître mot qui permet de le respecter.
Commencez par l'aimer au lieu de l'ignorer, il est À votre service, mais il n'est pas votre esclave ;o))
Nouveaux services clinique
Depuis Décembre 2007, la clinique de thérapies manuelles SD vous offre des services de massothérapie supplémentaires.
Suédois
Massage pour femme enceinte
Shiatsu thérapeutique sur table
Réflexologie des pieds
Toutes ces techniques sont englobées dans massage englobant et énergisant.
De plus vous serez traité dans le meilleur des confort puisque vous reposerez sur une mousse TEMPUR et vos pieds seront couvés par un coussin chauffant. (en hivers seulement !!)
Patricia Ingrid Boissonneault est massothérapeute agréée depuis presque 15 ans. Forte d'une expérience dans les plus grands spas des Laurentides et du grand Montréal, d'un travail conjoint avec des professionnels ostéopathes, ainsi que d'une formation de plus de 1300 heures , elle saura dénouer toutes vos tensions musculaires efficacement grâce à des manoeuvres alliant fermeté et douceur. Elle vous recevra dans le cadre professionnel de la Clinique de Thérapies manuelles les Lundi, Mardi de 10h00 à 19h00 et le Samedi de 10h00 à 16h00
Pour prendre rendez-vous avec Patricia :Tél.:(514) 961-6495
Suédois
Massage pour femme enceinte
Shiatsu thérapeutique sur table
Réflexologie des pieds
Toutes ces techniques sont englobées dans massage englobant et énergisant.
De plus vous serez traité dans le meilleur des confort puisque vous reposerez sur une mousse TEMPUR et vos pieds seront couvés par un coussin chauffant. (en hivers seulement !!)
Patricia Ingrid Boissonneault est massothérapeute agréée depuis presque 15 ans. Forte d'une expérience dans les plus grands spas des Laurentides et du grand Montréal, d'un travail conjoint avec des professionnels ostéopathes, ainsi que d'une formation de plus de 1300 heures , elle saura dénouer toutes vos tensions musculaires efficacement grâce à des manoeuvres alliant fermeté et douceur. Elle vous recevra dans le cadre professionnel de la Clinique de Thérapies manuelles les Lundi, Mardi de 10h00 à 19h00 et le Samedi de 10h00 à 16h00
Pour prendre rendez-vous avec Patricia :Tél.:(514) 961-6495
Maux de dos et Méthode Gesret
Troubles musculo-squelletiques
capsulites etc.), mobilité réduite.
lombalgies, sciatalgies et hernies discales
tous les maux de dos.
de nombreux troubles inflammatoires
viscérales ou cutanés
La méthode Gesret n’étant pas une thérapie miracle, le client devra aussi se prendre en charge au niveau posturale et parfois nutritionnel pour des résultats plus rapides et à longs termes. De nombreux conseils pourront lui être suggérés par le praticien.
que des programmes d’entretiens propres à chaque personne comme du renforcement musculaire.
De l’implication du client dépendra en grande partie du succès de l’approche.
Déroulement du protocole
Pour les pathologies plus sévères comme l’asthme ou les allergies, le protocole est le suivant :
Si nous observons une diminution notable des symptômes, 2 séances espacées cette fois de 1 mois chacune sont faites afin de vérifier l’autonomie posturale de la personne à moyen termes.
Ensuite, 1 ou 2 séances d’entretien par année suffisent à garder un équilibre corporel durable.
Pour traitements à Montréal :
STÉPHANE DREUX
Praticien et Formateur de la méthode Gesret
Massothérapeute agréé F.Q.M
Accrédité par la F.Q.M et l’A.N.N
Tél. : (514) 992-6495
Qu'est ce que la Méthode Gesret
Asthme, Allergies, Eczéma, Psoriasis
Pendant dix ans, il s’est attaché à apprendre l’anatomie, l’acupuncture traditionnelle chinoise et l’auriculothérapie. C’est en 1984 qu’il fit sa première découverte sur les mécanismes fondamentaux qui régissent les dérèglements du système immunitaire.
L’asthme serait plutôt une réaction normale de l’organisme en réponse à des informations anormales supposées provenir du plexus pulmonaire (informations “fantômes“).
Les informations “ fantômes “ les plus connues sont celles de l’infarctus (douleur du coeur perçue dans le bras gauche) et celle des amputés qui “sentent “ toujours la présence du membre absent.
Une difficulté expiratoire (asthme classique)
Une difficulté inspiratoire (spasme du pharynx).
Il est d’ailleurs possible, chez ces personnes, de provoquer le déclenchement de la toux à l'aide d’un coton-tige que l’on introduit à l’entrée du conduit auditif d’une oreille et pas de l’autre.
Jacques Gesret a démontré la relation qui existe entre le dérèglement mécanique du premier étage thoracique, son influence sur un ganglion nerveux et le dérèglement des réponses du système immunitaire. La normalisation de cet étage supprime les informations erronées et les réponses immunitaires se normalisent en quelques semaines (vérifié depuis 1985 !).
Le système de base est identique : des informations émises par des compressions articulaires sur des fibres nerveuses, perçues à tort, par le système central comme provenant des zones cutanées ou elles aboutissent.
De la théorie à la pratique
Introduction
Une méthode thérapeutique, initiée en 1984, est au point depuis 1994 et les résultats sont édifiants : plus de 90 % de taux de guérison (+ de 5 ans de recul sans rechute constatée).
Pour traiter un asthme, par exemple, cela ne nécessite en moyenne que quatre séances de travail d'une heure.
Cette technique est à la portée de tout praticien en thérapies manuelles ( Kinésithérapeutes, ostéopathes), un simple complément de formation de trois jours lui est nécessaire pour pratiquer correctement ma méthode thérapeutique.
Cette médecine des structures respecte les lois de la vie, en effet son principe est on ne peut plus simple (mais pas simpliste) :
Cette médecine des structures respecte les lois de la vie, en effet son principe est on ne peut plus simple (mais pas simpliste) :
Redonner à un individu son équilibre et sa conformité originelle,
telle que la nature l'avait prévue, rien de plus !
telle que la nature l'avait prévue, rien de plus !
Principes du traitement
Redonner un bon équilibre du bassin -c'est-à-dire de ses fondations
Redonner un axe corporel correct - c'est-à-dire supprimer les tensions qui mettent le sujet dans une attitude de type scoliotique (ou autre)
Redonner une mobilité thoracique parfaite afin que la fonction respiratoire le soit également
Redonner une mobilité cervicale naturelle afin qu'il n'existe aucune compression O.A.A, lieu de prédilection à l'origine de très nombreux troubles.
En un mot :
Remettre une personne dans tous ses axes naturels.
Pour traitements à Montréal :
STÉPHANE DREUX
Praticien et Formateur de la méthode Gesret
Massothérapeute aggré F.Q.M
Accrédité par la F.Q.M et l’A.N.N
222 Henri Bourassa Est
Tél. : (514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
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