mardi 16 septembre 2008

Entrainement fonctionnel de base.

Je remarque très souvent lors du bilan clinique avec mes clients qu’à la question :
‘’ Que faîtes vous comme entraînement ‘’
La réponse reste indubitablement la même quand elle est positive:
‘’Je vais au gym, je fais du cardio et je soulève des poids’’
Finalement même si l’intention reste des meilleures, on en vient toujours à vouloir faire un entraînement analytique, c'est-à-dire que notre pratique se base sur la décomposition du corps en segments (Biceps, pectoraux, Quadriceps, etc., etc.) ainsi que sur l’augmentation de notre capacité cardio-vasculaire. De plus, par manque d’informations et de connaissances anatomiques, la personne se retrouve à effectuer des mouvements de musculation sur des muscles d’abord à court bras de levier comme les biceps et les pectoraux (surtout les hommes !!) parce qu’ils sont faciles à travailler mais elle occulte toute la musculature profonde de soutien et la musculature superficielle qui sert aux mouvements de base :
Marcher, fléchir, soulever, soutenir, sauter, enjamber, se baisser etc.

A quel moment de la journée allez vous soulever une charge de 100 kg calé dans votre fauteuil ? La pratique analytique renforce une musculature isolée et n’est pas forcement adapté à notre mode de vie sédentaire. Il l’est en revanche dans les cas de rééducation suite à des accidents ou des blessures.

Quel est donc l’intérêt d’avoir des biceps comme des ballons, des pectoraux gros comme des cuisses mais avec une belle bedaine de bière, des poignées d’amour ressemblant plus à des pneus de camions surtout quand notre activité principale est de rester assis(e) devant un ordinateur, le dos courbé, les jambes croisées ? Sans parler que cet entraînement ne vous aidera en rien à maintenir une posture naturelle puisque vos muscles centraux (abdos, fessiers, ischios) sont comme les Dieu : tout le monde en parle mais personne ne les a jamais vu !!

Pourtant depuis quelques années émerge du monde de la préparation physique une approche très différente de l’entraînement analytique :
L’entraînement fonctionnel. Celui consiste en un seul concept :

Train the mouvement, not the muscle. Entraîner le mouvement et pas le muscle.

Le but de cette approche est de s’exercer physiquement à mieux fonctionner dans les mouvements de tous les jours. De plus chaque entraînement est spécifiquement adapté à chaque personne dans un seul et unique but : être plus fonctionnel.
En effet l’entraînent fonctionnel repose sur le fait de pouvoir faire travailler des chaînes musculaire en mouvement plutôt que sur un segment seul. Il permet l’amélioration de la posture par le travail important des muscles centraux abdominaux, bas du dos, fessiers et ischio-jambiers en favorisant un meilleur soutien de la colonne vertébrale et en prévenant les risques de blessures musculo-squelettiques par les gestes répétitifs.
Les bienfaits des cette forme de pratique sont multiples. L’entraînement fonctionnel se fait toujours le corps debout et dans un mouvement global ce qui oblige la structure interne à se renforcer de manière naturelle. Les mouvements de la vie de tous les jours sont plus harmonieux, moins forçant et le fait de travailler en mouvement renforce naturellement notre capacité cardio-vasculaire. Nous gagnons en force et puissance de manière globale sur toutes les chaînes musculaires. En effet la musculation analytique du biceps ne renforcera que la flexion de l’avant bras ce qui peut être fort utile pour faire un bras d’honneur à un automobiliste enragé mais aurez vous les cuisses suffisamment fortes pour courir afin d’éviter de prendre une volée ? L’entraînement fonctionnel du haut du corps par les pushs-up combinés avec des tractions en supination augmenteront votre force pure à la fois sur la chaîne antérieure et postérieure des bras et avant bras en plus de vous procurer la capacité de vous soulever. Ce qui peut être utile pour escalader un mur afin de toujours échapper au camionneur alcoolique vous poursuivant de sa bedaine molle.
Sérieusement, l’entraînement fonctionnel reste d’une efficacité bien supérieure à l’entraînement analytique sur du moyen terme même si les débuts peuvent être plus difficiles.

Comment commencer ?

Comme dans toute pratique d’exercices physiques, la première question à se poser est :
Quel est mon objectif ? Sans une réponse claire à cette question, le découragement vous gagnera rapidement et la discipline de votre pratique fondra comme neige au soleil.
Posez vous la question de ce pourquoi vous voulez faire de l’exercice. Si c’est parce que on vous dit de le faire, vous aurez très peu de motivation. En revanche si c’est pour ne plus avoir mal au dos ou pour juste pouvoir enfin toucher vos orteils sans appeler l’ambulance après vos 2 hernies discales et une crise de sciatique, les raisons seront suffisantes (j’espère) pour vous motiver à pratiquer au moins 3 fois par semaines.
De plus que cherchez vous à renforcer ? Votre musculature profonde pour un meilleur soutien ou votre égo grâce à vos biceps gonflés à l’hélium.

Bref si votre santé vous incombe plus que votre silhouette et si vous souhaitez vous tenir debout comme un être humain plus que comme un gorille, l’entraînement fonctionnel est pour vous.

La stratégie pourrait être la suivante :
Faire évaluer votre posture et vos différentes fonctionnalités par un professionnel qui établira un programme simple et spécifique à vos besoins.

Sinon, si vous vous sentez l’âme d’un guerrier autonome voici un programme de base afin de commencer votre remise en forme.

La règle d’or
En douceur et respectez vos limites.

1500 m de vélo stationnaire à un rythme de 50 % de sa charge maximum.
Ou bien
500 de rameur

40 squats au poids du corps
30 set up
20 push-up
10 tractions

Le tout sans repos entre chaque exercices.

Si votre cœur à l’instar de vos cuisses n’a pas explosé, vous recommencerez ce circuit jusqu’à 3 fois ce qui devrait vous occuper quelques mois. Dîtes vous que les pros du fonctionnel font cet enchaînement en moins de 5 minutes. Mais souvenez vous toujours que la patience et la persévérance sont de mise afin d’éviter les blessures et l’écourantite aigue.

Explication de chaque mouvement

Squats au poids du corps.
Debout, pieds écartés largeur des épaules en ouverture de 30 degrés. Descendre les fesses le plus bas possible en gardant le dos droit et en sortant légèrement les fesses. Regarder toujours devant soi.
Revenir à la position de départ.

Set up
Allongé sur le dos sur un matelas de yoga, les pieds au sol libres.
Placer les mains derrière la tête pour la soutenir et fléchir le tronc en contractant les abdominaux. Décoller les omoplates du sol et ne pas dépasser une inclinaison de plus de 30 degrés. Au delà, ce ne sont plus les abdominaux qui travaillent mais les fléchisseurs de hanche.

Pompes ou push-up
Pour les gars : Allongé en positions de pompes, pieds au sol, le dos droit, les abdos contractés, bras tendus. Descendre jusqu’au sol et remonter.

Pour les filles : Commencer en mettant les genoux au sol puis prendre la même position que les gars par la suite

Tractions sur barre fixe.

Pour ceux qui ne sont pas encore assez forts, (pour ainsi dire tout le monde), monter sur la barre fixe et maintenir la position le plus longtemps possible.
La progression sera la suivante :
Bras complètement fléchis
Bras dépliés à 90 degrés
Bras dépliés à 120 degrés

Bonne pratique.

Pour toutes évaluation ou alignement par la méthode Gesret :

Stéphane Dreux
10305, rue St Hubert
Tél.:(514) 992-6495
gesretcanada@vif.com

mardi 29 juillet 2008

Prochains articles à surveiller

* Diète de transition sur 6 semaines
* Méthode Gesret et cellulite
* Problèmes d'épaules et méthode Gesret
* Alimentation et activités physique.
* Des abdominaux de légende pour tous en moins de 5 minutes par jours.
* Diète protéinée pour tous : Avantages et inconvénients
* Pourquoi faire des séances d'entretien avec la méthode Gesret
* Problème cutanés, posture et abdominaux.
* Musculation intelligente.

samedi 26 juillet 2008

Hygiène posturale

Voici un résumé des postures NATURELLES à adopter afin de respecter son équilibre structurelle. Pour tous ceux qui sont déjà venus me consulter, ce sera un rappel fort utile.

Les postures dans le repos sont à surveiller étroitement :
- debout sur les deux pieds, pas en position d'appui sur une seule jambe, si c'est le cas, votre bassin n'est pas de niveau, il s'est déréglé, ou le praticien a oublié de vous caler une petite jambe courte (cela peut être un seul millimètre et provoquer ce réflexe d'appui) ;
- assis sur les deux ischions au bord d'une chaise (os situés sous les fesses que vous sentez quand vous êtes assis sur un banc ou tabouret dur), surtout pas sur les cuisses en vous appuyant au fond de celle ci ; les deux pieds bien posés au sol, faites une bascule légère du bassin vers l'avant (comme pour sortir le ventre) pour placer vos lombaires dans leur lordose naturelle (comme quand vous êtes debout), relâchez vos épaules et vous constaterez que vous êtes assis parfaitement et sans aucune contracture ni effort musculaire pour conserver cette position ; position idéale de travail devant un bureau, en informatique par exemple ;
- couché sur le côté ou pour ceux qui le supportent, sur le dos ; JAMAIS sur le ventre. L'oreiller doit avoir une épaisseur suffisante pour vous placer la tête dans l'axe du corps quand vous êtes sur le côté ; elle ne doit ni pencher vers le matelas, ni être inclinée vers le haut. La position idéale est la position dite "de sécurité" que tous les secouristes connaissent bien ;
- le matelas TRÈS important : un matelas de plus de 5 ans a des empreintes irréversibles de votre corps. Comme on se couche TOUJOURS dans le sens de ses lésions (si une cervicale ne peut pas tourner vers la droite sans être "désagréablement perçue, vous vous coucherez toujours tête tournée vers la gauche pour "être" bien) le matelas prendra votre empreinte dans laquelle vous vous sentirez installé confortablement pour vous endormir ; Avec les matelas modernes, les empreintes sont irréversibles.
Conseil : il ne faut jamais tourner un matelas par le côté, mais tête/pied pour éviter d'installer votre conjoint dans votre "empreinte", et vice-versa. Avec la main, tâtez votre matelas pour détecter cette empreinte plus molle que le reste, vous serez surpris. Sachez qu'une personne passe bien plus du temps de sa vie dans son lit que dans sa voiture et que le matelas n'est pas considéré comme une priorité ...
Concernant vos enfants

- à l'école : dans le temps, un enfant de 15 ans mesurait 1m65, aujourd'hui, j'ai vu des enfants de 13 ans faisant 1m70 et plus ... le seul problème est que le mobilier scolaire n'a pas vraiment évolué puisque cela fait partie de "l'administration". Alors les enfants ne sont pas assis correctement, ils s'installent comme ils peuvent sur des éléments trop petits pour leur taille et sont en position "tordue". Chez eux, ils se vautrent sur le canapé, dos totalement arrondi et cela entraîne une hyper cyphose dorsale et détruit la lordose lombaire ; leur thorax ne peut pas se développer dans cette position repliée, il est donc plat au lieu d'être bombé, et ils ne savent plus respirer qu'avec leur diaphragme du fait qu'il est impossible de gonfler ses poumons par une respiration thoracique dans cette position d'effondrement sur soi. Leur capacité respiratoire (en litres) est très faible ! TOUTES ces positions d'effondrement sont à proscrire car elles provoquent une postériorisation fixée du gril costal supérieur (origine des problèmes d'asthme et allergies, etc.)
- le cartable ou "le poids des mots et le choc sur la structure d'un enfant" !
. Il est loin se bon temps où on se musclait les jambes en effectuant plusieurs kilomètres à pied pour se rendre à l'école. Aujourd'hui, dans une école qui reçoit 400 élèves, arrivent le matin, midi et soir ... 350 voitures individuelles prenant chacun un enfant. Ceux qui ne viennent pas en voiture, c'est simplement parce qu'ils ont moins de 200 mètres à faire AVEC UN CARTABLE sur le dos pesant parfois jusqu'au tiers de leur poids corporel ! Si vous ne pouvez pas diminuer le poids administratif des sacs d’école, achetez des sacs style sac de randonnés avec IMPÉRATIVEMENT une ceinture lombaire. Contrairement à son nom, un sac à dos se porte pour 80 % de sa masse sur les os du bassin et non sur les sangles d’épaules.
- les chaussures, autre sujet important !
Il semblerait que depuis quelques temps, les fabricants de chaussons de sport aient enfin pris conscience que les semelles moulées de leurs produits présentaient plus de désagréments que d'avantages ; cela restera quand même des bouts de chiffons et de mousse (inflammable, car il n'y a aucune législation concernant les baskets) qui sont fabriqués en très grandes séries dans les pays les plus pauvres de la planète ; les coûts sont minimes et les bénéfices plus que fabuleux. Le phénomène publicitaire, vicieux au possible, d'identification à des "modèles" sportifs ou non, fait que s'est créé un phénomène de groupes s'identifiant par la marque des baskets, la façon de les lacer, surtout de ne pas les lacer, etc.

Il serait de loin préférable d'équiper les enfants avec de VRAIES chaussures ayant une base de cuir, au lieu de cette base de mousse.
Je m'explique en quelques mots :
- un corps qui se construit sur des appuis "mous" (propriocetivité) sera gras et mou
- un corps qui se construit sur des appuis fermes, sera mince et musclé.

Mettez des chaussures au pieds de vos enfants, pas des bouts de chiffons qui pourrissent en deux ou trois mois d'usage, c'est un conseil qui hélas, ne sera jamais écouté car ces ’’chers’’ petits, refuseront catégoriquement de s'exclure" des clans dans lesquels ils se sentent très forts (surtout pour ne plus respecter les enseignants).

- En voiture : assurez vous que vos jeunes enfants ne s’endorment jamais la tête pendante. Cela aura pour effet de créer d’énormes tensions au niveau de la première cervicale responsable du spasme pharyngé. Mettez soit une serviette roulée en boudin sous son menton de telle sorte que la tête soit soutenue lors de voyages en voiture. De même lors de voyage en train ou en avion.
- le travail : pour les personnes qui effectuent des travaux de force (en cela j'inclus les infirmières qui doivent soulever des personnes très lourdes et qui se bousillent totalement le dos alors que la législation du travail interdit à une femme de soulever plus de 20 kg sans appareil de levage), il sera difficile de ne pas se déstructurer ! Il leur faudra donc penser leurs gestes pour éviter tout mouvement en torsion et tenter de toujours être parfaitement dans ses axes avant de soulever une charge. Les postures dans les bureaux, surtout assis devant un ordinateur ; les postures sur les chaînes de travail, etc.

- le sport : le mouvement c'est la vie !
Mais faut il encore qu'il reste dans une mesure acceptable pour ne pas devenir une cause de déstructuration !
Se muscler, lever de la fonte, c'est peut être bien mais pas sur un corps déstructuré où cette musculation devenue importante, figera la personne dans ses problèmes et nous ne pourrons plus la corriger. Eviter les sports violents chez les enfants, ceux qui occasionnent des chutes brutales, sans pour autant leur interdire les sports d'équipe parfaitement adaptés à leur force et morphologie. Un conseil, concernant vos enfants qui sont vautrés dans vos canapés et qui se gorgent de "mangas" pendant des journées entières, mettez les dehors au grands air, dans un sport d'équipe qui leur fera le plus grand bien sur tous les plans.

Pour résumer, il faut commencer par écouter son corps pour faire attention aux messages qu'il nous envoie en permanence et faire en sorte qu'ils soient agréables. Quand on est bien assis, bien debout, bien couché, c'est l'absence de tensions désagréables qui renseigne sur la bonne position (bien entendu, à condition d'avoir été restructuré).

Ecouter son corps est le maître mot qui permet de le respecter.
Commencez par l'aimer au lieu de l'ignorer, il est À votre service, mais il n'est pas votre esclave ;o))

Nouveaux services clinique

Depuis Décembre 2007, la clinique de thérapies manuelles SD vous offre des services de massothérapie supplémentaires.

Suédois
Massage pour femme enceinte
Shiatsu thérapeutique sur table
Réflexologie des pieds

Toutes ces techniques sont englobées dans massage englobant et énergisant.
De plus vous serez traité dans le meilleur des confort puisque vous reposerez sur une mousse TEMPUR et vos pieds seront couvés par un coussin chauffant. (en hivers seulement !!)

Patricia Ingrid Boissonneault est massothérapeute agréée depuis presque 15 ans. Forte d'une expérience dans les plus grands spas des Laurentides et du grand Montréal, d'un travail conjoint avec des professionnels ostéopathes, ainsi que d'une formation de plus de 1300 heures , elle saura dénouer toutes vos tensions musculaires efficacement grâce à des manoeuvres alliant fermeté et douceur. Elle vous recevra dans le cadre professionnel de la Clinique de Thérapies manuelles les Lundi, Mardi de 10h00 à 19h00 et le Samedi de 10h00 à 16h00

Pour prendre rendez-vous avec Patricia :Tél.:(514) 961-6495

Maux de dos et Méthode Gesret

Troubles musculo-squelletiques
Le travail exclusif de la cage thoracique par la méthode Gesret, permet de pouvoir restructurer une personne dans son ensemble. En effet la cage thoracique est le point de pivot de toute la structure. Si elle n’est pas symétrique, la nuque dont tous les muscles s’attachent sur les 5 premiers segments thoraciques ne pourra en aucun cas, rester stable et sans tension. Il en est de même pour les muscles du dos. On peut facilement comprendre alors toutes les tensions qui se créent induites par un thorax déséquilibré.
Ainsi nous plaçons la personne dans une symétrie structurelle quasi-parfaite et la plupart des tensions musculo-squelletiques se résorbent d’elle-même.
Problèmes d’épaules (bursites, tendinites,
capsulites etc.), mobilité réduite.
Tensions entre les omoplates, dorsalgies,
lombalgies, sciatalgies et hernies discales
tous les maux de dos.
Migraines chroniques, tunnels carpiens et
de nombreux troubles inflammatoires
viscérales ou cutanés
Engourdissement bras et jambes
Cervicalgies, torticolis, migraine, céphalées.

La méthode Gesret n’étant pas une thérapie miracle, le client devra aussi se prendre en charge au niveau posturale et parfois nutritionnel pour des résultats plus rapides et à longs termes. De nombreux conseils pourront lui être suggérés par le praticien.
Suite à chaque traitement, des exercices de correction posturale seront proposés au client ainsi
que des programmes d’entretiens propres à chaque personne comme du renforcement musculaire.
De l’implication du client dépendra en grande partie du succès de l’approche.

Déroulement du protocole
Pour les problèmes musculo-squelletiques, 2 à 3 séances maximum suffisent à éliminer le déséquilibre.
Pour les pathologies plus sévères comme l’asthme ou les allergies, le protocole est le suivant :
Quatre séances espacées d’une semaine chaque suffisent généralement à induire un nouvel équilibre naturel dans la structure.
Si nous observons une diminution notable des symptômes, 2 séances espacées cette fois de 1 mois chacune sont faites afin de vérifier l’autonomie posturale de la personne à moyen termes.
Ensuite, 1 ou 2 séances d’entretien par année suffisent à garder un équilibre corporel durable.

Pour traitements à Montréal :

STÉPHANE DREUX

Praticien et Formateur de la méthode Gesret
Massothérapeute agréé F.Q.M
Accrédité par la F.Q.M et l’A.N.N


Tél. : (514) 992-6495
gesretcanada@vif.com

Qu'est ce que la Méthode Gesret

Traitement des pathologies du système immunitaire par la voie des structures
Asthme, Allergies, Eczéma, Psoriasis
Qui est Jacques Gesret?
Suite au décès de son fils Franck, le jour de ses dix ans, au cours d’une ultime crise d’asthme, Jacques Gesret a consacré tout son temps depuis à rechercher les causes de cette pathologie.
Pendant dix ans, il s’est attaché à apprendre l’anatomie, l’acupuncture traditionnelle chinoise et l’auriculothérapie. C’est en 1984 qu’il fit sa première découverte sur les mécanismes fondamentaux qui régissent les dérèglements du système immunitaire.
L’asthme d’après Jacques R. Gesret.
Selon Gesret, la cause de l’asthme ne peut être une inflammation permanente des tissus pulmonaires car une inflammation est une réponse défensive et non une cause en elle même.
L’asthme serait plutôt une réaction normale de l’organisme en réponse à des informations anormales supposées provenir du plexus pulmonaire (informations “fantômes“).
Les informations “ fantômes “ les plus connues sont celles de l’infarctus (douleur du coeur perçue dans le bras gauche) et celle des amputés qui “sentent “ toujours la présence du membre absent.
Dans le cas de l’asthme, ces informations anormales sont produites par des subluxations articulaires de certaines côtes (1, 2 et 3) qui sont enfoncées dans 90 % des cas du côté droit.
Jacques Gesret a découvert qu’il existait deux formes de difficultés respiratoires :
Une difficulté expiratoire (asthme classique)
Une difficulté inspiratoire (spasme du pharynx).
La difficulté inspiratoire concerne les personnes qui ressentent des irritations dans la gorge qui vont provoquer une petite toux réflexe (sèche), surtout nocturne (minuit, 2 h du matin) et se poursuivre par un violent spasme du pharynx qui freine brutalement l’air à l’inspiration.
Il est d’ailleurs possible, chez ces personnes, de provoquer le déclenchement de la toux à l'aide d’un coton-tige que l’on introduit à l’entrée du conduit auditif d’une oreille et pas de l’autre.
La difficulté expiratoire est la forme d’asthme “vrai“. Les symptômes en sont bien connus, la poitrine reste bloquée et dilatée, la personne inspire rapidement à l’aide de son diaphragme, souffle longuement avec difficulté par la bouche, lèvres serrées ; avec des bruits de sifflements provenant de ses bronches obstruées
Les allergies
Jacques Gesret a démontré la relation qui existe entre le dérèglement mécanique du premier étage thoracique, son influence sur un ganglion nerveux et le dérèglement des réponses du système immunitaire. La normalisation de cet étage supprime les informations erronées et les réponses immunitaires se normalisent en quelques semaines (vérifié depuis 1985 !).
Les pathologies cutanées
Le système de base est identique : des informations émises par des compressions articulaires sur des fibres nerveuses, perçues à tort, par le système central comme provenant des zones cutanées ou elles aboutissent.
Quelle est la différence entre un eczéma et un psoriasis ?
C’est le côté droit ou le côté gauche de la jambe courte !
En effet, si la jambe courte (vraie ou fausse) est à droite, le bassin sera abaissé à droite, la 9 ème dorsale perturbera les fibres nerveuses du foie et la 1ère côte sera postériorisée à droite et nous aurons de l’eczéma.
Si la jambe courte se trouve à gauche, cet ensemble sera à l’inverse et la 9 ème dorsale perturbera les fibres nerveuses du pancréas et nous aurons alors du psoriasis.
De la théorie à la pratique
Introduction
Une méthode thérapeutique, initiée en 1984, est au point depuis 1994 et les résultats sont édifiants : plus de 90 % de taux de guérison (+ de 5 ans de recul sans rechute constatée).
Pour traiter un asthme, par exemple, cela ne nécessite en moyenne que quatre séances de travail d'une heure.
Cette technique est à la portée de tout praticien en thérapies manuelles ( Kinésithérapeutes, ostéopathes), un simple complément de formation de trois jours lui est nécessaire pour pratiquer correctement ma méthode thérapeutique.
Cette médecine des structures respecte les lois de la vie, en effet son principe est on ne peut plus simple (mais pas simpliste) :
Redonner à un individu son équilibre et sa conformité originelle,
telle que la nature l'avait prévue, rien de plus !
Principes du traitement
Redonner un bon équilibre du bassin -c'est-à-dire de ses fondations
Redonner un axe corporel correct - c'est-à-dire supprimer les tensions qui mettent le sujet dans une attitude de type scoliotique (ou autre)
Redonner une mobilité thoracique parfaite afin que la fonction respiratoire le soit également
Redonner une mobilité cervicale naturelle afin qu'il n'existe aucune compression O.A.A, lieu de prédilection à l'origine de très nombreux troubles.
En un mot :
Remettre une personne dans ses axes naturels.


Pour traitements à Montréal :

STÉPHANE DREUX

Praticien et Formateur de la méthode Gesret
Massothérapeute aggré F.Q.M
Accrédité par la F.Q.M et l’A.N.N
10305, rue St-Hubert, # 1
Montréal (Québec) H2C 2H8
Tél. : (514) 992-6495
gesretcanada@vif.com
http://asthme-methode-gesret.com/francais.htm