Méthode Gesret


CELLULITE ET THÉRAPIE MANUELLE

Avec ce printemps précoce et ce temps magnifique, voici le temps où le cortex nous turlupine à nouveau sur notre santé et notre silhouette, alouette.
Alors, tous les jours où le soleil nous fait grâce de sa chaleur réconfortante, nous voilà envahi de ce besoin esthétique de vouloir raffermir nos chairs molles engraissées par un hiver trop peu actif. Et je m’adresse autant à vous mesdames que vous, messieurs dont la bedaine récalcitrante se flétri à grand coups de 6 packs.  Le temps est venu de changer la place dudit 6 packs !
Alors on recommence à s’entrainer, si nous avions eut la faiblesse d’arrêter, et on prends soin de son carburant, c'est-à-dire qu’on se débarrasse du pain industriel qui font les 2 toasts ridicules sans parler de cet infect beurre de peanuts (beurkkk!!!). Moi j’ai toujours préféré le Nutella, bon.
Mais voila que je découvre que malgré mes entrainements assidus et intenses, mon alimentation quasi-parfaite, ma bedaine ayant fondu comme neige au soleil, il reste tout de même ces quelques rondeurs disgracieuses dont je n’arrive pas à me débarrasser. Et là je m’adresse plus aux personnes qui s’entrainent régulièrement et pour qui les bienfaits de l’alimentation ne sont plus à prouver et plus particulièrement aux dames et demoiselles.
En effet, malgré tous vos efforts intenses, votre assiduité et votre abnégation à suer ces excès alimentaires, il ne reste pas moins que ces légères masses graisseuses ne veulent rien savoir à aller voir ailleurs. Vous savez de quoi je parle, cette toute petite masse entourant les hanches ou l’entre-jambes, on a beau suer sang et eau, rien n’y fait, cela ne part pas.

Et bien, plus sérieusement maintenant voici peut être une solution. Et je parle, ni de lipomachinchose ou de branlottage de tissus adipeux chez l’esthéticienne.

Une nuance tout de même. Ce qui suit s’adresse plus aux personnes qui ont déjà un poids santé et qui s’entrainent de manière régulière et dont l’alimentation, vous l’aurez compris est saine.
Tout ceci afin de ne pas créer de faux espoirs aux personnes souhaitant perdre du poids.

Gesret a mis en évidence au travers de sa découverte sur l’asthme et les allergies, que ces pathologies n’étaient en fait qu’une réaction normale de l’organisme contre des informations erronés provenant de certaines articulations en restriction de mobilité.  Voir ceci : asthme
En résumé, le système nerveux central pense recevoir une information erronée d’une certaines zone alors que le problème est ailleurs.
Ce qui est vraie, pour nous en tous cas après plus de 30 ans d’observations cliniques, pour les poumons pourrait il l’être pour la peau ? Les observations sur des pathologies comme l’eczéma et le psoriasis nous démontre que oui. Mais quel est le rapport avec la cellulite ?

S’inspirant des travaux cliniques du Dr Jarricot qui a mis en évidence la présence de dermalgies réflexes (douleur au niveau de la peau) dans des territoires cutanés précis chaque fois qu'une pathologie viscérale était constatée, Gesret en a extrapolé une autre théorie :

‘’ Se pourrait il qu'il puisse exister une compression légère de certaines fibres nerveuses provocant des défauts ou des erreurs d'informations avec en retour des réactions réflexes logiques ? ‘’

Qu’est ce que cela veut dire ? En clair, est ce qu’un blocage au niveau des vertèbres lombaires pourrait comprimer certaines fibres nerveuses et provoquer un message d’erreur au système nerveux central, celui-ci croyant que ces messages proviennent d’un territoire cutané selon le schéma des dermatomes  ci-dessus.

Vous remarquerez les zones correspondant aux vertèbres L5 (culotte de cheval), L1 et L2 (zones de l’entre-jambes).

L’expérience nous a démontré que pour toutes ces zones en blocages on notait une lipodystrophie prennent toujours naissance, comme point de départ, dans la zone cutanée inter apophysaire qui correspond à un étage vertébral en restriction de mobilité articulaire.
C'est-à-dire que pour ces zones, on retrouve toujours une adhérence entre la zone vertébrale bloquée et le dermatome.
L’explication est très simple. Par la constriction de certaines fibres nerveuses, ces zones en restrictions émettront des messages thermiques que le système nerveux central assimilera comme des zones de froid ou de vide. D’ailleurs si vous touchez ces zones de peau elles sont plus froides que le milieu du dos par exemple.
Donc la réaction défensive du SNC sera de créer un isolant thermique et le meilleur qui soit, c'est-à-dire de la graisse. Comme la présence de cette couche ne suffit pas à faire cesser les informations thermiques anormales, il continuera à l'épaissir sans cesse et nous en avons l'exemple chez des personnes qui présentent des bourrelets de cellulite à l'image du bonhomme Michelin, situés très visiblement dans des territoires métamériques précis.
On en déduit que cette production de gras n’est due  qu’a un déséquilibre articulaire de certaines vertèbres.

 Il suffit alors de quelques séances de thérapie Gesret car avec son travail exclusif de la cage thoracique, elle permet une stabilisation à long termes du bassin et des lombaires. De plus l’élimination de ces adhérences sera indispensable à la disparition de ces disgracieux dépôts lipidique. Cela se fait de manière très simple par un palper rouler au niveau des zones concernées.

En général 3 rencontres suffisent à rétablir un équilibre lombaire et les différences de silhouette se notent au bout du mois qui suit en sentant par exemple qu’on est plus loosse dans nos jeans.

Alors ne désespérez plus, la solution est peut être beaucoup plus simple qu’on croit.
Pour d’autres informations n’hésitez pas à me contacter et bon jogging, ce que je m’apprête à faire par ce temps radieux.

Référence :
Les dermalgies réflexes et la cellulite Par Jacques R. Gesret
Dermalgies réflexes



MAUX DE DOS ET THÉRAPIE MANUELLE

Le travail exclusif de la cage thoracique par la méthode Gesret, permet de pouvoir restructurer une personne dans son ensemble. En effet la cage thoracique est le point de pivot de toute la structure. Si elle n’est pas symétrique, la nuque dont tous les muscles s’attachent sur les 5 premiers segments thoraciques ne pourra en aucun cas, rester stable et sans tension. Il en est de même pour les muscles du dos. On peut facilement comprendre alors toutes les tensions qui se créent induites par un thorax déséquilibré.
Ainsi nous plaçons la personne dans une symétrie structurelle quasi-parfaite et la plupart des tensions musculo-squelletiques se résorbent d’elle-même.
  • Problèmes d’épaules (bursites, tendinites, capsulites etc.), mobilité réduite.
  • Tensions entre les omoplates, dorsalgies, lombalgies, sciatalgies et hernies discales
  • Tous les maux de dos.
  • Migraines chroniques, tunnels carpiens et de nombreux troubles inflammatoires viscérales ou cutanés
  • Engourdissement bras et jambes
  • Cervicalgies, torticolis, migraine, céphalées.
 La méthode Gesret n’étant pas une thérapie miracle, le client devra aussi se prendre en charge au niveau posturale et parfois nutritionnel pour des résultats plus rapides et à longs termes. De nombreux conseils pourront lui être suggérés par le praticien.

Suite à chaque traitement, des exercices de correction posturale seront proposés au client ainsi que des programmes d’entretiens propres à chaque personne comme du renforcement musculaire.
De l’implication du client dépendra en grande partie du succès de l’approche.

Pour les problèmes musculo-squelletiques, 2 à 3 séances maximum suffisent à éliminer le déséquilibre.

Pour les pathologies plus sévères comme l’asthme ou les allergies, le protocole est le suivant :

Quatre séances espacées d’une semaine chaque suffisent généralement à induire un nouvel équilibre naturel dans la structure.

Si nous observons une diminution notable des symptômes, 2 séances espacées cette fois de 1 mois chacune sont faites afin de vérifier l’autonomie posturale de la personne à moyen termes.

Ensuite, 1 ou 2 séances d’entretien par année suffisent à garder un équilibre corporel durable.



QU'EST CE QUE LA MÉTHODE GESRET

L’asthme d’après Jacques R. Gesret.

Selon Gesret, la cause de l’asthme ne peut être une inflammation permanente des tissus pulmonaires car une inflammation est une réponse défensive et non une cause en elle même.

L’asthme serait plutôt une réaction normale de l’organisme en réponse à des informations anormales supposées provenir du plexus pulmonaire (informations “fantômes“).

Les informations “ fantômes “ les plus connues sont celles de l’infarctus (douleur du coeur perçue dans le bras gauche) et celle des amputés qui “sentent “ toujours la présence du membre absent.

Dans le cas de l’asthme, ces informations anormales sont produites par des subluxations articulaires de certaines côtes (1, 2 et 3) qui sont enfoncées dans 90 % des cas du côté droit.

Jacques Gesret a découvert qu’il existait deux formes de difficultés respiratoires :
  • Une difficulté expiratoire (asthme classique)
  • Une difficulté inspiratoire (spasme du pharynx).
La difficulté inspiratoire concerne les personnes qui ressentent des irritations dans la gorge qui vont provoquer une petite toux réflexe (sèche), surtout nocturne (minuit, 2 h du matin) et se poursuivre par un violent spasme du pharynx qui freine brutalement l’air à l’inspiration.

Il est d’ailleurs possible, chez ces personnes, de provoquer le déclenchement de la toux à l'aide d’un coton-tige que l’on introduit à l’entrée du conduit auditif d’une oreille et pas de l’autre.

La difficulté expiratoire est la forme d’asthme “vrai“. Les symptômes en sont bien connus, la poitrine reste bloquée et dilatée, la personne inspire rapidement à l’aide de son diaphragme, souffle longuement avec difficulté par la bouche, lèvres serrées ; avec des bruits de sifflements provenant de ses bronches obstruées

Les allergies

Jacques Gesret a démontré la relation qui existe entre le dérèglement mécanique du premier étage thoracique, son influence sur un ganglion nerveux et le dérèglement des réponses du système immunitaire. La normalisation de cet étage supprime les informations erronées et les réponses immunitaires se normalisent en quelques semaines (vérifié depuis 1985 !).

Les pathologies cutanées

Le système de base est identique : des informations émises par des compressions articulaires sur des fibres nerveuses, perçues à tort, par le système central comme provenant des zones cutanées ou elles aboutissent.

Quelle est la différence entre un eczéma et un psoriasis ?

C’est le côté droit ou le côté gauche de la jambe courte !

En effet, si la jambe courte (vraie ou fausse) est à droite, le bassin sera abaissé à droite, la 9 ème dorsale perturbera les fibres nerveuses du foie et la 1ère côte sera postériorisée à droite et nous aurons de l’eczéma.

Si la jambe courte se trouve à gauche, cet ensemble sera à l’inverse et la 9 ème dorsale perturbera les fibres nerveuses du pancréas et nous aurons alors du psoriasis.

De la théorie à la pratique

Une méthode thérapeutique, initiée en 1984, est au point depuis 1994 et les résultats sont édifiants : plus de 90 % de taux de guérison (+ de 5 ans de recul sans rechute constatée).

Pour traiter un asthme, par exemple, cela ne nécessite en moyenne que quatre séances de travail d'une heure.

Redonner à un individu son équilibre et sa conformité originelle, telle que la nature l'avait prévue, rien de plus !

Redonner un bon équilibre du bassin -c'est-à-dire de ses fondations

Redonner un axe corporel correct - c'est-à-dire supprimer les tensions qui mettent le sujet dans une attitude de type scoliotique (ou autre)

Redonner une mobilité thoracique parfaite afin que la fonction respiratoire le soit également

Redonner une mobilité cervicale naturelle afin qu'il n'existe aucune compression O.A.A, lieu de prédilection à l'origine de très nombreux troubles.

En un mot : Remettre une personne dans ses axes naturels.